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5 décembre 2012 3 05 /12 /décembre /2012 18:30

 

 

C'est la R(UMP)ture finaaaaleeuuuu !

Fillon! Nous et Copémoglobineuu !

 

RAFAMORADATAPARU !

 

Groupons nous ! O ma  CONAREUUU !

Rue d' Veau-Girard ! Tsar ! COCOEUU !

 

PECROZIMORAJUPPE !

 

 

Ami BUISSON,  fuyons vers le fhaine !

Là ou l'herbe est bleu marine !  (refrain trois fois)

 

 

 

 

Ps: Les Copéïstes,  c'est à dire la droite de la droite se reconnaitront

 

 

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4 décembre 2012 2 04 /12 /décembre /2012 18:30

 

La création d'un groupe parlementaire à l'assemblée semble indiquer que les protagonistes sont prets au divorce.Que pense François BAYROU de cette affaire...Réponse ci-contre.

 

 

 

 

Dans les colonnes de l'hebdomadaire Réforme, François Bayrou a revendiqué cette semaine sa "liberté de non-aligné". "La nécessité des temps, c'est qu'au lieu de complaire dans l'affrontement perpétuel, on sache coopérer pour sauver le pays", a-t-il détaillé.

La crise de l’UMP vous concerne-t-elle ? Et en quoi ?

Je ne suis pas membre de l’UMP, vous le savez bien, et j’ai depuis le premier jour critiqué la formation de ce qui se voulait un « parti unique ». Mais comme citoyen et comme responsable politique, je mesure les dégâts sur l’image de la démocratie. Et les dégâts aussi sur la capacité des grands courants du pays à travailler ensemble pour sortir notre pays de la crise où il s’enfonce. Je suis persuadé que le jour viendra où toutes les sensibilités réformistes, la gauche social-démocrate, le centre, une partie de la droite républicaine devront s’accorder sur des réformes nécessaires. Cela exige que l’on fasse passer l’intérêt général du pays avant les intérêts personnels ou partisans. On en est loin ! Cette crise est un symptôme de plus d’un processus de décomposition qui touche aussi bien la majorité, qui se divise sur des sujets cruciaux entre les plus à gauche ou les écologistes qui sont entrés pratiquement en dissidence, que l’opposition qui explose en public. Et les citoyens ne retiennent que ce climat d’incohérence, de rivalités personnelles, d’intérêts particuliers, d’excès en tout genre.

Le conflit qui oppose Jean-François Copé à François Fillon marque un clivage stratégique. Vous reconnaissez-vous dans la démarche de l’un ou l’autre ?

Au-delà des affrontements de personnes, il y a eu en effet deux lignes politiques. D’un côté, avec Jean-François Copé, le choix de l’affrontement, du clivage, de l’excitation des passions. De l’autre, avec François Fillon, l’affirmation que le rassemblement du pays est la voie à suivre, qui correspond à une vision plus gaulliste de l’avenir national. Évidemment, je suis plus proche de cette ligne de rassemblement. Pas par esprit évangélique qui voudrait que tout le monde s’aime, mais parce que nous traversons la crise la plus profonde de notre histoire récente et que nous ne pourrons pas trouver de réponse si nous en restons au jeu de rôle qui veut que l’opposition critique et combat tout ce que propose le pouvoir, et réciproquement.

On a l’impression que le monde des décideurs politiques ne prend pas la dimension de la gravité et de l’urgence de la situation de notre pays. Certes François Hollande, lors de sa récente conférence de presse, a tracé des perspectives que j’ai approuvées. Faire d’importantes économies, soutenir les entreprises, favoriser la productivité, la créativité, une politique de l’offre plutôt que la distribution d’argent public, ces grands choix sont justes et doivent être soutenus. Mais où sont aujourd’hui les décisions correspondantes ? Vingt milliards d’économies ont été annoncés. Mais dans quels secteurs ? On ne peut pas attendre pour le savoir !

Les déclarations d’Arnaud Montebourg sont contre-productives. Dire « nous ne voulons plus de Mittal en France », parlant d’un groupe qui représente 20 000 emplois sur notre sol, c’est menacer à terme ces emplois. Ce que nous devrions chercher, ce n’est pas que Mittal et consorts partent, mais qu’ils créent plus d’emplois ! Et l’image que cela donne aux investisseurs, français, européens ou extra-européens, ne peut qu’en être dégradée, gravement. Cette méthode d’invectives me paraît profondément décalée et dangereuse par rapport aux exigences de la crise française !

Et la manière dont est « gérée » l’affaire de Notre-Dame des Landes est elle aussi symptomatique des ambiguïtés sur lesquelles s’est construite la majorité et des tensions qui la menacent.

Etes-vous prêt à vous impliquer dans le champ de l’opposition? Et à quelles conditions ?

Je revendique la liberté des non-alignés. La nécessité des temps, c’est qu’au lieu de complaire dans l’affrontement perpétuel, on sache coopérer pour sauver le pays.  Je suis le représentant d’une sensibilité qui a laissé derrière elle tout caractère systématique d’opposition ou d’approbation automatiques. Je revendique ma liberté de parole, quand j’approuve, je le dis clairement et quand je suis en désaccord je l’affirme de la même manière. Je ne laisse rien ignorer de ce que je soutiens, ou de ce que je combats. Et je suis convaincu qu’il existe dans notre pays une majorité de citoyens pour soutenir une politique réformiste : un plan d’économies plutôt que des impôts, une construction européenne sérieuse dans laquelle les citoyens français puissent se reconnaître, des institutions qui permettent à tous les grands courants du pays de s’exprimer, le soutien acharné à la capacité de produire des richesses et des emplois, l’impératif de résultats dans l’éducation nationale. Vous voyez bien que je décris là une politique qui n’est pas celle d’un camp contre l’autre. Je ferai tout pour qu’émerge cette majorité de courage et de bon sens.  Elle existe mais elle ne s’exprime pas publiquement. Dans les conversations privées, nombre de responsables politiques admettent qu’ils partagent le même avis, simplement, quand il y a un micro, chacun reprend le chemin de la confrontation. La crise de l’UMP peut favoriser la recomposition parce qu’en dépit des oppositions parfois féroces que j’ai pu connaître et dont j’ai payé le prix, j’ai des relations suivies et confiantes avec des hommes comme Alain Juppé ou François Fillon. Il faut faire triompher l’estime réciproque et la vision commune autour des axes que la France doit suivre - ce qui exclut la  stigmatisation, la violence dont une partie de la droite veut faire son miel.

Vous avez parlé d’impératifs. Mais sur quelles valeurs pensez-vous qu’il puisse y avoir rassemblement ?

J’en identifie trois : la vérité dans le discours politique, une certaine abnégation personnelle des responsables, qui acceptent de prendre les décisions nécessaires même quand, électoralement, elles comportent le risque de la défaite, enfin l’unité du pays. On peut ajouter autant de justice et de générosité que possible, le système social et de service public n’ayant pas été réformé comme il devait l’être. Je suis persuadé que l’on peut rendre plus de services avec moins de moyens. Dernier élément, européen de conviction, de passion, je constate le divorce entre les institutions communautaires et les citoyens - qui n’y comprennent plus rien, qui ne sont informés de rien. C’est un crève cœur et il faudra sur le sujet européen aussi qu’il y ait reconstruction et réconciliation.

Comment répondre à la dérive populiste?

Les extrêmes, je les combats, mais je n’accepte pas, lorsqu’ils représentent des courants importants, qu’ils soient exclus du parlement. Je pense qu’il faut ne leur faire aucune concession sur le fond, mais il faut leur donner la représentation à laquelle ils ont droit. C’est toute la question de la loi électorale et de la part de proportionnelle nécessaire. Je ne regarde pas ceux qui votent pour les partis extrémistes - à droite comme à gauche - comme des étrangers, mais, au sein de la société française, comme le symptôme de nos difficultés et de nos échecs. Mais il ne faut pas se tromper : en face de ces excès, ce qui est équilibre, volonté, courage et raison n’est pas défendu comme il devrait l’être.

A droite, une nouvelle force est née. Qu’est ce qui vous distingue de l’UDI ?


Le désaccord que j’ai avec les responsables de l’UDI est bien connu. J’étais en désaccord lorsqu’ils ont créé l’UMP il y a dix ans et s’y sont inscrits pendant une décennie. Pour moi, aujourd’hui comme hier, le centre, c’est la volonté de dépasser la guerre de la droite contre la gauche et de voir les grandes sensibilités du pays s’accorder sur les réformes indispensables à la survie du pays.

Quelles sont vos positions sur le mariage pour tous, la bioéthique et la fin de vie ?  

J’ai proposé une démarche originale de reconnaissance des couples homosexuels. La création d’un statut qui reconnaisse la pérennité de ces couples, y compris devant l’état-civil et les droits qui y sont attachés. Et j’ai suggéré que ce statut porte le nom d’union, pas le nom de mariage. Ainsi on tient compte de la demande de droits des homosexuels et en même temps de la sensibilité de ceux qui, aussi dignes que les autres, juifs, musulmans, chrétiens, ou simplement traditionnels ne veulent pas couper le lien avec notre héritage, avec notre histoire collective, ceux qui affirment que le mariage est l’alliance d’un homme et d’une femme. Ce statut d’union, c’est un chemin de réconciliation, et pas l’affrontement exaspéré qui est en train de s’imposer.

Quant au statut de l’embryon, j’ai été très heureux que l’on attribue le prix Nobel à deux chercheurs, Gurdon et Yamanaka, qui viennent de produire des cellules souches totipotentes à partir de cellules adultes de peau humaine. Cela permet de ne pas traiter l’embryon comme simplement de la matière, et de respecter en lui quelque chose d’unique et de précieux, relié d’une certaine manière à notre humanité. Et cela permet en même temps de penser à l’avenir à guérir des maladies génétiques pour l’instant sans solution. En même temps, j’ai été impressionné d’apprendre que Yamanaka demandait qu’on réfléchisse à ce que signifierait la production par ce moyen de cellules de reproduction masculines et féminines. Il se comporte à la fois comme un grand savant et un homme d’éthique et c’est ainsi qu’il me semble juste d’aborder ces questions.

Pour la fin de vie, nous disposons depuis plusieurs années d’une loi remarquable, la loi Léonetti, qui a été votée à l’unanimité de l’Assemblée Nationale - un tour de force qui révèle un travail de réflexion très profond. Cette loi apporte les réponses dont nous avons besoin. Je voudrais juste qu‘on l’applique et qu’on en informe davantage le personnel soignant.

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4 décembre 2012 2 04 /12 /décembre /2012 08:56

A qui vont les primes,

au rythme que l'on imprime

et salaires que tout comprime

à la sueur des gueux qui dépriment...

 

 

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2 décembre 2012 7 02 /12 /décembre /2012 16:07

Monsieur Netanyhou se venge de la reconnaissance de l'etat palestienne par l'ONU, en gelant les subventions dues aux palestiniens.

 

Israel aurait il tous les droits ? Je reponds NON!

 

Le mythe d'un etat juif millénaire a du plomb dans l'aile, pour qui s'y interresse . lisez ce qu' écrit  un internaute à ce sujet :

 

"Bouche bée

La situation grotesque est simple à décrire : les sionistes justifient leur colonisation au XXe siecle du pays de Canaan (Palestine, Peleset en Egyptien) par des textes religieux qui créerent le mythe d'une « Terre d'Israel ». Ce territoire est centrée sur les deux petits royaumes juifs (séparés) d'Israel et de Judée, autour des bourgs de Samarie et de Jerusalem, vers l'an 1000 av JC était à l'INTERIEUR sur les hautes terres à 40 Km du littoral ...

La colusion des colonialistes anglais et sionistes au début de XXe siecle a conduit à une situation grotesque : Les britanniques ont installé les sionistes au début du XXe siècle sur le LITTORAL de Palestine - afin de satisfaire leur besoins coloniaux au Moyen-Orient (Jordanie, Iraq, Arabie) par la maîtrise des ports (Haifa etc), et pour border par des alliés l'est du Canal de Suez - leur lien crucial avec leurs colonies en Asie.

Actuellement les sionistes israeliens sont essentiellement sur le littoral, beneficiant des terres agricoles les plus faciles et des ports, et réclament par leur idéologie les territoires des hautes terres de Cisjordanie autour de Samarie et de Jerusalem ...

Peut etre la solution pour sortir de ce sac de noeuds (volontairement mouillés par idéologie religieuse) est d'inverser les populations et de remettre les descendant des 600'000 palestiniens expulsés en 1948 sur le littoral, dont Haifa et Tel-Aviv, et d'expulser les israeliens sur les hautes terres distantes du littoral ! ..."

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1 décembre 2012 6 01 /12 /décembre /2012 17:46
Le Besoin de Dignité

Je n’ai pris que quelques jours de recul, et déjà il semble que cette semaine l’état du pays a empiré : les régionalistes désirent que le nouveau gouvernement leur prêtent attention, comme à leur habitude, ils s’attaquent à un représentant de l’administration d’état, ce qui nécessairement fait se déplacer le ministre en charge. Encore une fois l’Etat est pris au chantage afin d’obtenir des « accords particuliers » pour les politiques locales et chaque gouvernement y passe : la paix -en Corse (par exemple)- s’achète.

Je n’ai pris que quelques jours de recul, et déjà il semble que cette semaine l’état du pays a empiré : les régionalistes désirent que le nouveau gouvernement leur prêtent attention, comme à leur habitude, ils s’attaquent à un représentant de l’administration d’état, ce qui nécessairement fait se déplacer le ministre en charge. Encore une fois l’Etat est pris au chantage afin d’obtenir des « accords particuliers » pour les politiques locales et chaque gouvernement y passe : la paix -en Corse (par exemple)- s’achète.

Nantes - la bonne élève de l'écologie- devient capitale française de l’écologie, aux fins de la remercier de ses efforts on lui enfonce sa couronne de fleurs à coups de matraques ! C’est vrai qu’à frapper sur des hommes blancs et bretons on ne peut pas accuser les CRS de racisme ! Pendant ce temps-là à Marseille on laisse le temps de détaler à tous les voyous des quartiers…Y a-t-il une logique qui m’aurait échappé ?

On parle du travail et tout est mis en œuvre pour le démembrer et le dévaloriser : bientôt on aura honte d’avoir un travail et si peu d’argent pour vraiment vivre ! Seuls les trafiquants auront une image de personnes responsables et entreprenantes : flexibilité maximum, horaires de travail décalés sans plaintes pour dépassements d’horaires, et -cerise sur le gâteau- bénéfices en croissances même pendant la récession ! Bientôt vous verrez de nouveaux slogans publicitaires : « Investissez dans votre avenir, devenez traders ou trafiquants : voyez en grand ! »

Réellement est-ce un rêve ou un cauchemar collectif dans lequel nous plongeons chaque jour un peu plus  ? Ce que l’on voit est une bataille entre les droits et les besoins. Le besoin primordial est de conserver les moyens de sa survie ordinaire : se loger, se chauffer, se nourrir, se soigner et continuer d’offrir une protection à ceux qui dépendent de nous. Ces besoins fondamentaux sont remis en cause et deviennent difficiles à conserver dans les milieux déjà vulnérables . Les générations d’actifs jeunes sont plus précarisées qu’aucune génération avant elle, alors que nous vivons en paix depuis 67 ans, c’est un paradoxe d’autant plus étrange que notre image –au niveau international- est aimée et respectée grâce à notre particularité et notre investissement social.

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Il y a 5 jours - 1 minute

Elie Baup fait le point après la victoire de Marseille face à Lille dimanche soir

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Aujourd’hui ce modèle est bousculé et rabaissé aux yeux des anglo-saxons et des germains, parce que les investissements pour mettre en place un système équivalent au nôtre leur parait trop couteux. Puisque l’Europe se construit par l’harmonisation des pays entre eux, il doit être plus facile pour la France de perdre son système de prise en charge sociale afin de l’aligner sur les méthodes qui favorisent les établissements et les mutuelles privées. A combien d’euromillions notre réserve de seniors est estimée ? C’est un gros marché d’avenir à condition que notre système de prise en charge soit devenu faillitaire et tout est fait pour nous faire remarquer que nous sommes trop "centralisés" et lents... Nos seniors sont globalement plus riches que ceux des autres pays, ils sont en meilleure santé et prêts à consommer pour la conserver, un véritable pactole ! Cette manne est alléchante pour les pays au sud de la méditerranée mais aussi pour les pays du nord de l’Europe ; chacun à leur manière ils peuvent imaginer capter l’argent de la seule classe riche que l’on compte encore : les retraités ! La France a un taux de natalité élevé mais elle ne semble s’intéresser qu’aux épargnes et aux retraites des seniors. Ce sera d’ailleurs la seule et unique génération qui aura bénéficiée de toutes les conditions obtenues par les combats sociaux : génération dorée et good vibrations !

Que reste-t-il aux autres ? Des miettes d’industries, un peu d’agriculture avec des tonnes de lois, de normes et d’obligations à vous mettre le moral à zéro. Entre salarié et entreprise il existe une procédure pour tout, peut-être même qu’il existe un alinéas dans les textes pour dire dans quelles conditions on peut péter durant le temps de travail ? En fait, personne ne s’y retrouve vraiment et cela devient gênant, car notre vie -comme celle des générations précédentes- doit se construire sur une ligne de temps qui n’a pas réellement augmentée : notre temps de vieillesse sera un peu retardé, peut-être même amélioré si on en a les moyens mais globalement, le retard prit aujourd’hui ne sera pas rattrapé. Ce que nous n’avons pas acquis nous l’avons vraiment perdu. C’est un deuil et une déception pour un grand nombre de gens, jeunes, instruits, intelligents, créatifs à qui la société a beaucoup promis, et que l'on dévalorise avant qu'ils aient pu demontrer leurs aptitudes, pourtant ils vivent dans une société aisée, florissante, pacifique et où paradoxalement ils ne peuvent obtenir que les miettes ou les désillusions lorsqu’ils n’ont pas le bon métier, la formation adaptée et l’expérience pratique : or comment obtenir ces trois clés dans un monde qui n’en facilite pas l’acquisition et même rend les choses complexes ? Il est plus facile aujourd’hui d’obtenir une pré-retraite anticipée et des acquis sociaux qu’un stage ou un travail, est-il permis de s’en offusquer ? A peine.

L’écologie, par exemple- n’est pas un sujet politique mais un investissement exemplaire pour l’avenir. Nous ferons des erreurs et peut-être que cela ne sera pas toujours un progrès si l’on ne pense pas qu’à grande échelle certains résidus engendrés par les productions écologiques se réveleront toxiques mais c'est un moyen de réunifier les citoyens autour d’un combat qui touche toutes les générations et nous rend plus dignes. Ce ne sont pas les idées de chantiers ou de modernisations qui manquent, en réalité ce n’est ni le travail, ni l’argent, ni les compétences qui manquent mais l’ajustement des trois sur des projets réels, concrets et réalisables techniquement. Lorsque les citoyens demandent que l’argent de l’état soit destiné à l’économie et au travail, ce n’est pas au travail de la haute finance que nous pensons, mais à l’éducation, à la formation et aux passerelles de transition d’un cadre des métiers à un autre pour remettre l'énergie et l'économie dans les besoins réels des nouveaux équipements écologiques. L'argent de la finance est un argent et un temps volé à l'élaboration des structures économiques de demain.

Par ailleurs, les compétences doivent être mieux valorisées et surtout mieux détectées. Une compétence n’est pas un métier, c’est un acquis qui peut s’exercer dans diverses branches économiques et diverses dénominations professionnelles. Plus nous donnerons d’éclairage à cette manne culturelle et éducationnelle plus nous revaloriserons nos compétences réelles ainsi que notre vision unique et précieuse du monde. Les français sont informés et intelligents, si nous manquons de technicité ou que nous ne sommes pas toujours adaptés aux besoins économiques c’est que nous valorisons trop les professions intellectuelles. Les Français sont des utopistes, partout dans le monde on nous renvoie l’image de « romantiques » mais le romantisme est porteur d’un grand idéalisme, d’une brume de pessimisme, d'une certaine philosophie : c’est notre particularité, notre valeur-ajoutée et le pragmatisme saxon ne doit pas raboter et dédaigner cette richesse qui -de fait- a permis aux peuples de tous les continents d’établir les bases d’un pouvoir assumé par le peuple, à travers des représentants élus.

Ces élus sont dignes de l’honneur fait par leurs concitoyens lorsqu’ils respectent la valeur principale : l’esprit démocratique, esprit de service de l’individu pour ce qu’il considère sa nation et ses valeurs. Aujourd’hui les élus – quelques soient leurs partis- ne semblent pas tous comprendre le sens du mot « démocratie » et pire, lorsque l’un d’entre eux s’implique personnellement pour le collectif, ses collègues lui renvoie une image d’idéaliste un peu crétin. Dans un monde où l’individu fait les lois à sa mesure, peut-on encore faire confiance à l’esprit collectif ? Nous qui croyions au sens de la communauté, sommes-nous subitement devenus des dinosaures ? J’ai dans l’idée que 2013 sera une grande année, pleine de retournements de situations : quand on est au fond du puits, il faut simplement donner un coup de talon pour remonter… un deux, trois… respirez ! Il n'y aura pas de Révolution mais certainement un grand vent de Rénovation ! Lila

www.lilaluz.net

 

 

 

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30 novembre 2012 5 30 /11 /novembre /2012 06:42

Nul ne peut se prévaloir d’être un ange...

 

Dans certaines circonstances,il arrive qu'on oublie ce serment de civilité :"ne fait pas à autrui ce que tu ne souhaites pas que l'on te fasse".

Braves gens,  ne vous dévier jamais  de votre tribunal intérieur, si vous ne voulez pas comparaitre devant celui des juges.

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28 novembre 2012 3 28 /11 /novembre /2012 18:30

 

 

 

 

L'expression "addict à la transgression" peut  vous paraître étrange à vous lecteurs, par sa nouveauté ; singulièrement  pour ceux  qui ,du fait de  leur expertise scientifique   ,observent  évaluent  et traitent les effets de l'accoutumance d' un individu à un  produit identifiable : médicaments, alcool, stupéfiants ,tabac.

 

Qu'ils se rassurent,  je ne prétends pas développer ici une quelconque découverte révolutionnaire pour leur faire ombrage.

 

Disséquer les mécanismes socio-physiologiques intervenants chez le sujet qui ne peut se passer de sa rasade quotidienne de rhum ou chez  tel autre qui a besoin de  15 joints par jour   pour se sentir "bien comme il faut", n'est pas du domaine dévolu  à l'empirisme et à  l'observation implicante.

 

C'est un procédé scientique nécessitant  des savoirs théoriques et expérimentaux qui dépassent mes compétences de travailleur social.

 

Pour autant, mon expérience d' éducateur de terrain m'a permis d'observer,  chez certains jeunes dotés d'une 'intelligence cognitive  normale  ne présentant aucune pathologie mentale,  des passages à l'acte délictueux  dont la fréquence, le mode opératoire, la nature des faits  laissent  apparaître  un processus d'accoutumance chez  leur auteur.

 

Ces jeunes "addict à la transgression sociale" sont agés  de 13 à 18 ans  et présentent  tous un profil social  caractérisé.

 

-une posture ambivalente sans affect ou typée caméléon

-une propension à la séduction

-une quête de reconnaissance négative sans limite

-une capacité d'adaptation aisée en milieu carcéral.

 

Questions:

 

 

-Combien sont -ils sur l'ensemble du territoire de Guadeloupe ?

 

-Quelles réponses en terme de suivi socio éducatif leurs sont apportées ?

-

-Les moyens existants correspondent t' ils vraiment à leurs problématiques ?

-

Leur incarcération et leur transfert hors de guadeloupe  sont-ce là les seules solutions ?

 

 

Ces questions   concernent   de façon brulante  la justice des mineurs  .

 

Elles devraient interpeller les usagers et les décideurs - singulièrement  les cadres et acteurs  de terrain de la PJJ - sur une nécessaire adaptation des outils et des pratiques alliée à une gestion respectueuse de la personne quelle qu'elle soit.  Parents ,usagers ,victimes ,professionnels de terrain.

 

Puissent ,la Direction nationale et la Direction territoriale de la Protection Judiciaire de la Jeunesse ,faire un bon usage de ce retour d'experience d'un professionnel de terrain  animé du droit de se plaindre et du plaisir de geindre ; la seule liberté qui lui reste ,on ne peut que le regretter, pour se faire entendre dans l'élaboration/caution de projets de service pensés du sommet vers la base et l'instauration ,par des cabinets d'études ,d' outils pédagogiques lourds et  inopérants  dans leur mise en oeuvre.

 

L' éducateur en activité que je suis, pour quelques mois encore ,ne saurait se sentir honorer de figurer dans le même cadre d'emploi qu'un gendarme  ou un dresseur canin .Ainsi s'élabore ,depuis une dizaine d'années ,la "professionnalisation " des pratiques à la Pjj...

 

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27 novembre 2012 2 27 /11 /novembre /2012 19:35

CLIMAT - D'après une étude, un réchauffement de +4°C entraînerait une «cascade de cataclysmes»...

Inondations, sécheresse, montée des océans: la Banque mondiale met en garde contre le scénario noir d'un réchauffement du thermomètre mondial de 4°C dès 2060 et la «cascade de cataclysmes» qui frapperaient alors les pays pauvres. «Ce monde serait tellement différent de celui dans lequel nous vivons qu'il est difficile de le décrire», prévient le président de l'institution, Jim Yong Kim, en préambule d'un rapport publié dimanche à Washington, ajoutant que des «décennies de développement» pourraient être réduites à néant.

Pénuries d’eau, maladies, mortalité infantile…

Selon la Banque mondiale, le niveau actuel d'émissions de C02 rend quasiment intenable l'engagement pris par la communauté internationale de contenir le réchauffement du globe à +2°C par rapport à l'ère pré-industrielle. D'après son rapport, le thermomètre mondial pourrait en réalité grimper de 4°C «au cours du siècle» et «dès 2060» si les gouvernements mondiaux n'agissent pas d'urgence. Cette sombre perspective «peut et doit être évitée», assure la Banque mondiale qui souligne que la responsabilité de l'homme dans le réchauffement en cours est «sans équivoque». «Nous, la communauté internationale, avons encore le temps d'adopter de nouvelles politiques, de modifier notre cap et de prévenir les conséquences les plus dangereuses du changement climatique», assure en écho le secrétaire général des Nations Unies, Ban Ki-moon, cité en marge du rapport.

Et ces «conséquences» ne sont pas minces, avertit la Banque mondiale. Listant les dangers qui menaceraient alors la planète (inondations, sécheresses, malnutrition...), l'institution prédit une aggravation des «pénuries d'eau» en Afrique de l'Est, au Moyen-Orient ou en Asie du Sud et un «important rebond» de la mortalité infantile en Afrique sub-saharienne. Certaines maladies véhiculées par les insectes (malaria, dengue) risquent également trouver un nouvel essor tandis que les barrières de corail, «protections naturelles contre les inondations», pourraient ne pas résister aux retombées acides du CO2 dans l'océan, énumère la Banque mondiale.

«Aucune certitude» que la planète puisse y faire face

Plus globalement, le changement climatique pourrait devenir «la plus grande menace à la biodiversité», selon ce rapport que la Banque a commandé à l'Institut de recherche sur l'impact du changement climatique de Potsdam (Allemagne). «Les plus pauvres et les plus vulnérables seront les plus durement touchés», assure le président de la Banque mondiale, même si aucune région ne serait épargnée. Les sécheresses ayant frappé cet été les Etats-Unis ou l'Europe de l'Est pourraient se reproduire et l'Occident serait aussi confronté à l'afflux de populations fuyant les conséquences des bouleversements climatiques. «Un monde à +4°C (...) déclencherait une cascade de cataclysmes», résume la Banque mondiale ajoutant qu'il n'y avait «aucune certitude» que la planète puisse y faire face.

Le rapport ne propose pas de remèdes-miracle pour relancer l'élan de la communauté internationale, qui a faibli depuis le fiasco du sommet de Copenhague en 2009 et sous l'effet de la crise économique. Mais la Banque mondiale veut surtout faire passer un message: la lutte contre le réchauffement n'est pas l'ennemie de la croissance. «Le secteur privé doit comprendre que l'adaptation au réchauffement climatique constitue une opportunité économique», assure Jim Yong Kim, estimant que la Chine en avait déjà pris conscience et appelant d'autres pays à suivre son exempl

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25 novembre 2012 7 25 /11 /novembre /2012 14:58

Aurais-je mieux fait dans l’intérêt de tous?

 

Pour sur, pour sur, voyons!  J'ai beaucoup plus d'éthique que ces leaders de circonstances foireuses,pour l'affirmer ...Je ne suis pas  de l U.M.P  et je n'ai pas envie de me réjouir ce soir.La démocratie française  à des ratées et c'est nous tous qui allions en pâtir.

 

Le responsable n'est pas celui qu'on dit.

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24 novembre 2012 6 24 /11 /novembre /2012 18:30

 Un internaute anonyme vient de publier un mail tres d'actualité...Sans  attendre la rencontre de demain entre belligérants et  médiateur,on peut d'ores et deja dire que La Fontaine avait tout prévu de la fin de l'histoire.

 

 

 

L 'huitre et les plaideurs :

 

Un jour deux Pèlerins sur le sable rencontrent
Une Huître que le flot y venait d'apporter :
Ils l'avalent des yeux, du doigt ils se la montrent ;
A l'égard de la dent il fallut contester.
L'un se baissait déjà pour amasser la proie ;
L'autre le pousse, et dit : Il est bon de savoir
Qui de nous en aura la joie.
Celui qui le premier a pu l'apercevoir
En sera le gobeur ; l'autre le verra faire.
- Si par là on juge l'affaire,
Reprit son compagnon, j'ai l'oeil bon, Dieu merci.
- Je ne l'ai pas mauvais aussi,
Dit l'autre, et je l'ai vue avant vous, sur ma vie.
- Eh bien ! Vous l'avez vue, et moi je l'ai sentie.
Pendant tout ce bel incident,
Perrin Dandin arrive : ils le prennent pour juge.
Perrin fort gravement ouvre l'Huître, et la gruge,
Nos deux Messieurs le regardant.
Ce repas fait, il dit d'un ton de Président :
Tenez, la cour vous donne à chacun une écaille
Sans dépens, et qu'en paix chacun chez soi s'en aille.
Mettez ce qu'il en coûte à plaider aujourd'hui ;
Comptez ce qu'il en reste à beaucoup de familles ;
Vous verrez que Perrin tire l'argent à lui,
Et ne laisse aux plaideurs que le sac et les quilles.

 

Jean de La Fontaine.

 

 

Tout le monde aura compris :

Les deux pèlerins sont Coppé et Fillon

Dandin est Juppé

 

L'huitre est le poste de Président de l'UMP.

 

Est-ce que cela finira comme dans la fable ?

 

Juppé Président de l'UMP et Copé, Fillon restant sur le carreau ?

 

Ca m'étonnerait : Copé et Fillon ont les dents qui rayent le parquet et le Parquet, Juppé le connait bien ! (il a été condamné par la Justice, un comble pour un "juge"... ).

 

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  • L'archipélien
  • Le monde est dangereux non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire” Einstein.
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