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27 octobre 2013 7 27 /10 /octobre /2013 18:30

Locution verbe haut

Entre elle et lui:

<Pantalon pa fè nom !

L'impensée plaidoirie,

Jactence  Terre d'en haut: 

<Koukounn tann on !

Quand pour du cash

Le ça se fache,

< lanmou kass kod. 

Terre de haut le 27 Octobre 2013 ψ

 

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26 octobre 2013 6 26 /10 /octobre /2013 18:45

 .

Que n'ai-je pas attendu

des soirs, aux actualités,

que tu vocalises,

de ta voix chaude, mille apartés

avec tes invités,pour m'enchanter.

 

Terre de haut le 27 Octobre 2013 ψ

 

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25 octobre 2013 5 25 /10 /octobre /2013 17:30

Leçon de morale:  TOUT CE QU'ON PARTAGE FLEURIT.

                                  TOUT CE QU'ON GARDE POUR SOI MOISIT.

《♡》

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24 octobre 2013 4 24 /10 /octobre /2013 17:30
La France sur écoute
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23 octobre 2013 3 23 /10 /octobre /2013 17:30
Vos gueules  les mouettes !!!
 Premier port de pêche en France ! » à Boulogne, le slogan est partout, largement relayé par la municipalité et la Chambre de Commerce. Avec sa flottille de 150 bateaux, Boulogne devance encore les villes bretonnes en tonnes de poissons acheminés au port. Mais il est loin le temps ou la côte boulonnaise brillait par sa pêche aux harengs. Boulogne n’est plus un port de pêche, et n’a plus vocation à l’être.
Un port sans poisson

Un week-end de mars, une partie de l’équipe de La Brique s’est rendue sur place. Dès nos premiers pas, on a le sentiment mortifère que la pêche crève à petit feu. Et, à jeter un regard en arrière, c’est effectivement le cas. Deux exemples parmi d’autres : la pêche du merlan a baissé de 65% entre 1976 et 2009. Pendant que celle du lieu-noir s’effondrait de 90% [1]. C’est l’hécatombe. Et le phénomène ne fait que s’intensifier, détruisant peu à peu petits et moyens pêcheurs.

La raison ? Une baisse des quantités de poissons dans les zones de pêche. Après plusieurs décennies d’exploitation intensive des fonds marins, la ressource se tarit. Il n’y a plus de poisson. Conséquence : le secteur se transforme, faisant la part belle aux industriels. Les politiques de rationnement font leur apparition via les quotas dictés par l’Europe. La pêche en offshore (au large) se développe. Les pécheurs se concentrent dans des cargos-usines toujours plus gros qui exploitent les dernières zones d’abondance. Exit la pêche côtière, traditionnelle et artisanale. À Boulogne et ailleurs : on pille la mer, on tue la pêche.

Spécialisation pannée

Côté politiques, les « socialistes » locaux ont pris acte de cette lente mort, et cherchent dorénavant à « positionner leur territoire » en fonction des autres ports de la côte. Chaque ville se spécialise sur une activité. Calais pour le transport de voyageurs, Dunkerque pour le fret et le commerce et Boulogne pour le transport et la transformation « des produits de la mer ».

Symbole de ce tournant, l’agrandissement de Capécure* [2], une immense Zone industrielle en bord de mer à cheval sur les villes de Boulogne et du Portel. Un « quartier » – que d’aucuns osent encore présenter comme le « poumon » économique de la région – abritant la plus grande gare routière de marée d’Europe et le premier pôle européen de transformation du poisson. C’est ici qu’on découpe, emballe et expédie le poisson partout en France et en Europe. Derrière le discours capitaliste habituel (« filières d’excellence », « clusters », « pôles de compétitivité », etc.), l’objectif avoué est de « faire de Boulogne un Rungis 2 ».

Pour faire le tour de cette zone de plus de 100 hectares, mieux vaut être motorisé. Capécure un jour de week-end, ce sont des rues vides, sans habitation, des dizaines de hangars, frigorifiques ou non, alignés les uns derrière les autres : un « non-lieu » [3] entièrement tourné vers la production de marchandises. Aujourd’hui, le long du bassin Napoléon, c’est l’enseigne Findus qui se charge d’avertir les visiteurs des activités de la Zone.

Élevage touristique

Et la pêche dans tout ça ? Sur les 380 000 tonnes de produits de la mer qui passent chaque année par le port de Boulogne, seulement 10% sont issus de la pêche locale. Le reste est acheminé – en camion ! – depuis la Norvège, l’Écosse, l’Irlande ou les Pays-Bas. À Boulogne, on importe beaucoup plus qu’on ne produit. Mais construire un port là où il n’y a plus de poisson ne semble pas être un problème. La solution est toute trouvée : ce sera l’aquaculture. Nouvel eldorado de la rentabilité marine, l’élevage intensif de poissons en bassin est censé répondre au manque de « matière première » : des poissons nourris aux farines animales et soignés aux antibiotiques alimenteront les besoins de la production.

Enfin, vieille lubie boulonnaise, c’est le tourisme qui doit s’intensifier [4]. Développement du centre national de la mer Nausicaá, réfection des berges de la Liane, agrandissement du port de plaisance et folklorisation de la pêche sont censés faire advenir un tourisme d’affaires en bordure de Capécure. La boucle est bouclée.

Volatile déchaîné

Sur les quais du bassin Napoléon, au pied d’un bateau en cale sèche, on rejoint une partie de la joyeuse équipe de rédaction de La Mouette enragée, un canard « communiste-anarchiste » édité depuis 1992 à Boulogne. Fins connaisseurs de la Côte d’Opale, ils sont auteurs du très bon Fortunes de mer [5] : une solide analyse marxiste des transformations industrielles du boulonnais. Les quelques pages qui suivent sont donc issues de cette rencontre.

Le temps dégueulasse – vent, vieille drache et brouillard – nous emmène rapidement place Dalton où nous nous empressons d’avaler un welsh, spécialité locale, avant de nous faire conter le triste sort de la pêche à Boulogne. Sur leurs conseils, on part à la rencontre de Thierry et Émilie, pêcheurs boulonnais aux prises avec les bouleversements de leur métier. Plongée dans le port de Boulogne-sur-Mer. Plouf !

Dossier réalisé par A.D., Le Margat, O. et tomjo.

Les articles du dossier :

- « Chronique d’une mort annoncée »

- « Paroles de mer »

- « Le tourisme comme coup de grâce »

- « Soleil vert pour Croissance bleue »

- « Lexique »

 
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22 octobre 2013 2 22 /10 /octobre /2013 17:30

 

 

 

 

Eaux souillées de la source.

Lessiveuses Morne cimetière.

Effluves et  miasmes mortifères

Canal Vatable en deverse.

Fièvre, spasmes et mort subite

Cavalcadent à dilligence ou en vapeur.

"Sainte Marie la faute", tous en choeur,

Choléra à la Pointe à Pitre !

 

 

Potiches et jarres biens précieux,

Compagnie disciplinaire rompez!

Dure triade d'hivernages facetieux,

Ilots des Saintes tremblez!

De la veillée , Sieur Basile abhorré,

Au Mouillage tout a commencé.

Citron, ails, Charbon de bois ;

Essence asafetida: "Tiens bois." 

 

 

Air putride et funèbres festins

De zombies en péril du soir au matin.  

Petites mains libérées cour des braves,

Heroines sermentées aux fosses communes.

Ces vies à trépas en nus  désacralisés;

20 Janvier 1866, Rosillette BELENUS "wayagé". 

Et, de bravoure en dévouement, ils se sont levés

Ces pionniers inconnus de la flamme métissée

 

 

P.S : Parmis ces derniers,

 

-Jean Pierre LOGNOS

-Louis Huart JOYEUX

 

Terre de haut le 20 Octobre 2013ψ
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21 octobre 2013 1 21 /10 /octobre /2013 18:03

Le documentaire Vivre avec Camus, diffusé le 9 octobre sur Arte, donne la parole à celles et ceux qui ont vu leur existence bouleversée par la lecture de L’Étranger ou de La Peste. A l'heure où l'on fête le centenaire de sa naissance, on ne pouvait pas espérer plus bel hommage.

L'écrivain français du XXème siècle le plus lu dans le monde, c'est lui : Albert Camus. Pour certains de ses lecteurs, d'ici ou d'Algérie, d'Amérique ou du Cameroun, d'Allemagne ou du Japon, l'homme de l'absurde et de la révolte n'est pas seulement un écrivain. C'est bien plus qu'un auteur ou qu'un philosophe : certains en font un copain, d'autres un père ou un saint, et des femmes n'hésitent pas à le prendre pour leur compagnon. Grâce à Albert Camus, leurs vies semblent un peu moins lourdes à porter. Comment ses mots ont-ils pris vie ? Là est tout le sujet du documentaire.

« Camus, c'est un guide de quand-ça-ne-va pas »

Le cycle de l'Absurde, représenté par L’Étranger et Le Mythe de Sisyphe, notamment, a enseigné à de simples gens les principes les plus simples. L'un se dit désormais capable de s'habituer à tout, comme le fait Meursault au fond de sa cellule de prison. Un autre, apprenti cuisinier d'Alger, juste parce qu'il a lu Camus (à temps), a oublié son macabre dessein suicidaire. « Il m'a sauvé la vie », témoigne t-il en évoquant une déception amoureuse.

Tous pour ces lecteurs, Albert Camus est une sorte de maître de conscience, d'ami invisible à qui on demanderait quand il faut : « Que feriez-vous à ma place ? » Ils n'hésitent pas à le convoquer à tout moment, tels des brebis égarées recherchant leur berger. « Quand on le lit, on a envie de déprimer, mais ça soigne de la dépression », reconnaît l'un de ses fans. Chacun suit le précepte de Caligula : celui de chercher le bonheur dans le malheur.

L'auteur inspire aussi les artistes, comme Patti Smith (oui oui !) qui avoue trouver sa force en lui : « C'est lui qui a fait de moi une auteure ». Et son admiration n'a pas changé depuis sa lecture de La Mort heureuse, son premier contact avec l'écrivain.

L'homme révolté ou comment profiter de la vie

Retour en France. Elle a lu Camus, et l'enseigne désormais dans un lycée de Versailles. L'appel à la révolte est en fait pour cette quinquagénaire une révolte face au temps. C'est ainsi qu'en plus de l'enseignement, elle a choisi d'être gendarme réserviste, pour « vivre [sa] vie à 200% ».

Un allemand à la retraite doit son engagement humanitaire à Camus. A bord d'un cargo, il n'avait pas hésité à repêcher des vietnamiens cherchant à fuir leur régime. Pour lui, « La Peste est la bible pour le travail de l'humanitaire ». Il en tire sa devise, qui pourrait être celle de tout militant d'ONG : « Il peut y avoir de la honte à être heureux tout seul ».

Et quand le père de Caligula lance « Je me révolte, donc nous sommes », ne doit-on pas trouver un appel d'outre-tombe qui s'adresserait aux générations suivantes... c'est-à-dire à nous ?


Joël CALMETTES, Vivre avec Camus. ARTE, 2012, 54 min.

 

Auteur: leflambo

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20 octobre 2013 7 20 /10 /octobre /2013 17:30
Le parti de Marine Lepen n'aurait rien à envier aux autres en terme de probité. Jugez en si vous voulez eviter la gueule de bois.
La Belle brochette:
 
** 1992/1996, le FN condamné pour avoir vendu une investiture. 
** Bruno Mégret (FN) condamné en 2006 pour détournements de fonds, et en 1998 condamné pour l’envoi aux frais du contribuable de Vitrolles plusieurs milliers de lettres appelant à parrainer sa candidature aux Présidentielles.
** Claude Jaffres (FN) condamné en 1997 pour usurpation de fonction.
** Daniel Simonpiéri (FN) condamné pour favoritisme, fausses factures, emplois fictifs et harcèlement moral.
** François Nicolas-Schmitt (FN) condamné en 1997 pour détournements de fonds.
** Guy Cannie, (FN) condamné pour escroquerie en bande organisée.
** Jacques Bompard (FN) mis en examen pour prise illégale d’intérêts 2008/2012
** Jean Holtzer (FN), 1990, ex candidat aux cantonales, reconnu coupable de vol à à main armée pour attaque de banque.
** JC Maurice (FN) 2004/2010/2011 : 6 condamnations, outrage à agent, vol escroquerie, banqueroute, travail dissimulé, abus de biens sociaux.
** Laurent Mirabeau (FN), financier de JM le Pen, 1994, condamné pour escroquerie et exercice illégal de la profession de banquier.
**Louis de Noëll (FN), 1997, condamné pour détournement de fonds.
** Marc Lyoen (FN), 1997, condamné pour avoir employé des clandestins, fraude au RSA.
** Philippe Bernard (FN), 2004/2008, mis en examen pour faux et falsification, abus de confiance et escroquerie.
** Le couple Le Chevallier (FN), qui a laissé aux Toulonnais une ardoise de 3 millions d’euros, condamnés pour détournements de fonds publics et complicité d’abus de confiance.
** Roger Fabregues et Yannick Lecointre (FN), condamnés pour trafic de drogue.
** Sylvain Ferrua (FN), 1996, condamné pour proxénétisme. ( Il me semble que c’est le parrain de Marine et qu’il vient à nouveau d’être arrêté pour proxénétisme.)
** JM Le Pen : redressement fiscal de 1,4 millions de francs, reconnu coupable de captation d’héritage, et condamné en 1995 pour oublis de plus values boursières et sous estimation de loyer.
* Guy Cannie (FN) 2009/2011, pour escroquerie
* Trois colleurs d’affiche du FN, 1995, condamnés pour meurtre.
etc.
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19 octobre 2013 6 19 /10 /octobre /2013 13:44

A la porte de la loge du gardien d'un zoo entre midi et deux ,sur un écriteau il est mentionné:  " le gardien a été mangé "....Le doute n'est pas permis

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17 octobre 2013 4 17 /10 /octobre /2013 19:06

>  Un homme s'évade après 15 ans de prison.  

> Il entre dans une maison pour voler de l'argent et un fusil et il trouve un jeune couple au lit.


> Il ordonne à l'homme de sortir du lit et l'attache à une chaise.

 >  Il attache ensuite la femme au lit, il se met dessus et l'embrasse dans le cou. 

> Puis le fugitif se lève et s'en va dans la salle de bain.

 >  Le mari tout affolé en profite pour dire à sa femme

> "Ecoute ma chérie, c'est un évadé de prison, regarde ses vêtements. Cela doit faire longtemps qu'il n'a pas vu de femme. J'ai vu comment il t'embrassait dans le cou. 


> S'il veut du sexe, ne résiste pas, fais ce qu'il veut. Donne-lui satisfaction même si ça te répugne.

 > S'il se fâche, il peut nous tuer. Sois forte chérie. Je t'aime

 >  Sa femme lui répond : - "Il ne m'embrassait pas dans le cou.

> Il m'a chuchoté à l'oreille qu'il était gay, qu'il te trouvait à son goût, et voulait savoir si on avait de la vaseline".

 >  Je lui ai dit oui, dans la salle de bain... Sois fort chéri.... Je t'aime

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Profil

  • L'archipélien
  • Le monde est dangereux non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire” Einstein.
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