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8 février 2010 1 08 /02 /février /2010 12:28
  FDF2825734 Trois nouveaux bateuax de pêche en Martinique
Un nouveau souffle pour la filière pêche ! C’est au cours d’une cérémonie en grande pompe qu’on été baptisés ce dimanche les trois navires de 24 m fabriqués en Chine. Ces bateaux, spécifiquement crées pour l’exploitation des poissons de type vivaneau et mérou, disposent d’une capacité de 30 tonnes chacun. Ils entrent dans le cadre d’un projet global autour de la pêche mis en place par des investisseurs réunis dans la société CAPAG(Cap Antilles Guyane). En plus des bateaux, l’entreprise possède entre autre une poissonnerie afin de gérer les choses depuis la pêche jusqu’à la distribution. Le cout global de l’investissement avoisine les 4 millions d’euros cofinancé par la région, l’Etat, une société de financement (SOFIPECHE) et l’armateur lui-même.
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7 février 2010 7 07 /02 /février /2010 17:13
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7 février 2010 7 07 /02 /février /2010 09:39

Après avoir assisté à la défaite du PSG, a quitté le carré VIP du Parc des Princes la mine fermée. Accompagné de son fils Louis et du Robin Leproux, le président de la République a serré chaleureusement la main du dirigeant parisien en lui glissant un mot d’encouragement. Il a ensuite regagné sa voiture dans le parking du Parc des Princes, entouré de son service de sécurité.

Interrogé sur la soirée du PSG, Nicolas Sarkozy n’a pas trouvé les mots pour exprimer sa déception. En laissant plusieurs fois ses bras tomber sur ses hanches, il a simplement lâché : « Que dire ? C’est le problème… »2825734
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6 février 2010 6 06 /02 /février /2010 18:34
Why Haiti matters" : Venir en aide à Haïti, ce n’est pas seulement aider des millions de personnes victimes d’une catastrophe épouvantable, ce n’est pas seulement venir en aide aux habitants d’un des pays "les plus pauvres" du monde. C’est aussi, pour la première fois, comprendre que l’humanité a une dette à l’égard des haïtiens. Une dette à l’égard de Haïti, première République noire, qui a payé depuis 200 ans, le combat pour les valeurs que nous défendons aussi "Tous les hommes naissent libres et égaux en droit". Haïti n’est pas un pays maudit, mais un pays puni, mis au banc des nations pendant plus de 100 ans pour avoir été "révolutionnaire". C’est pour cette raison aussi que comme l’a écrit le Président Obama "Haïti matters !" "Haïti est importante".. Peu de pays, peu de cultures, peu de langues peuvent se dégager de représentations issues de cinq cents ans de domination du monde par le monde « blanc », longtemps synonyme chez les « blancs » de civilisation. Et il est difficile encore aujourd’hui de ne pas se représenter notre monde en dehors du point de vue élaboré et transmis par les européens. Prenez la « découverte » de l’Amérique. Sans rentrer dans le débat de savoir qui de Christophe Colomb ou des vikings ont atteint en premier les côtes américaines, comment ne pas « visionner » cette « découverte » sans adopter le « regard » européen ? Comme le résume Jean-Claude Bajeux, ancien ministre de la culture d’Haïti, « quand vous pensez aux caravelles qui s’approchent des rivages de cette île des Bahamas atteinte par Colomb en 1492, où vous trouvez-vous ? Avec les marins sur les caravelles, vous criez « Terre », et vous voyez sur la plage des « indiens » qui vous regardent approcher ? Ou bien sur l’île, sur la plage et vous voyez approcher ces pirogues, bizarres et ventrues, sur lesquelles s’agitent des êtres blancs et poilus ? ». Tout est question de point de vue. C’est comme le climat. Les européens ont décrété que la norme, le climat « tempéré », était le climat de Londres ou Paris, c’est-à-dire franchement un climat pluvieux et morose… Le reste est soit climat « froid » soit climat chaud. Alors que lorsque Colomb est arrivé aux Antilles, sa première réaction a été de trouver que climat était paradisiaque « aussi doux qu’un printemps en Andalousie ». Tout est question de point de vue. C’est comme la « couleur ». 400 ans d’esclavage nous ont tous conditionnés à considérer que tout ce qui n’était pas blanc-blanc était noir. Ainsi un métis blanc + noir est noir, « afro-américain » dirait-on au pays d’Obama. Et l’on sait que même 70 ans après la « négritude » d’Aimé Césaire, et de tous ces mouvements visant à remettre le « nègre debout », de Cuba au Brésil en passant par la Martinique ou la Guadeloupe, on considère encore un peu, trop ! qu’un enfant métis sorti clair est « bien sorti », et que s’il n’a pas des cheveux crépus, il a « de beaux cheveux »… Un seul pays a inscrit dans sa culture traditionnelle, dans sa langue un autre « point de vue » : Haïti. Après la Révolution haïtienne et la proclamation de l’indépendance de la première République noire, il n’y a plus de blancs en Haïti. C’est un pays de noirs, en créole « nèg ». Tout ce qui entoure Haïti, ce sont des pays « blancs », en tout cas dominés par les « blancs ». En créole haïtien « blan » est donc synonyme d’étranger. Ainsi « Nan peyi blan » veut dire : « A l’étranger ». Cependant, dans ce pays « noir », quelques « blancs » ont été « intégrés ». Ainsi, des « blancs » ont été aux côtés des « noirs » pour défendre la liberté puis l’indépendance. Comme, par exemple, et cela appartient à la conscience historique de tous les haïtiens, les polonais faisant partie des 30 000 soldats envoyés par Napoléon pour reconquérir Haïti. Ils ont rapidement déserté et rejoint les haïtiens. Après l’indépendance, ils se sont implantés dans le sud du pays, près d’Aquin et de Saint-Louis du Sud. Et aujourd’hui encore, quand on voit une personne au teint et aux yeux clairs, on pense souvent qu’elle est originaire de cette région. Il y eu aussi d’autres métissages, notamment avec des familles de commerçants venus de « l’étranger », obligés de se mélanger car pendant longtemps, les « blancs » n’avaient pas le droit de posséder un bien, une terre en Haïti. Ce qui a donné des « mulâtres » qui ont par la suite développé des monopoles dans le commerce avec l’étranger. Malgré tout, le point de vue de départ est resté, que l’on retrouve dans la langue créole : Un blanc c’est un « nèg rouj », littéralement « homme rouge ». Et un noir américain peut être traité de « blan », c’est-à-dire d’étranger… Bien sûr, les « valeurs » du vaste monde qui entoure Haïti, les « valeurs » du reste de la Caraïbe, ou des Etats-Unis, partout marquée par une hiérarchisation de la société héritée de l’esclavage, ces valeurs ont pénétré la société haïtienne qui perd petit à petit son "point de vue"original. Mais l’exemple d’Haïti et de sa langue montre qu’il y a une autre voie que de partir d’une vision « blanche » , « européenne », « occidentale » du monde. C’est une nouvelle fois une démonstration de l’importance de la Révolution haïtienne de 1804 pour la lutte pour la Liberté, l’Egalité, la Fraternité de tous les hommes dans le monde. C’est cette Révolution haïtienne qui donne aux valeurs défendues par la Révolution française leur aspect universel. « Liberté, égalité, fraternité" « Tous les hommes naissent libres et égaux en droit » ne sont pas uniquement des valeurs réservées aux seuls blancs, aux seuls européens, aux seuls « pays développés », au seul "Occident chrétien". Mais pour tous, y compris les nègres, « nèg », c’est à dire « homme » en créole… Pour cette seule raison, déjà, oui, comme l’a écrit le Président Obama. « Haïti matters », c’est-à-dire qu’Haïti est importante pour nous tous, pour tous les hommes, pour le monde entier. http://pierrethivolet.blogspot.com/
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3 février 2010 3 03 /02 /février /2010 07:58

Les mutilations d'enfants sont elles compatibles avec l'identité française,Monsieur Besson? lien:


http://enfant.ovh.org/

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3 février 2010 3 03 /02 /février /2010 06:32

Tres belles images de nos ilets las, sur fond de mer couleur emeraude dans la troisieme plus belle baie du monde... Chez  Lci, dans l'émission nautisme du 3/02/10.

Curieusement l'archipel semble desert ,pas un autochtone  n'apparait...

Le capitalisme a ceci de particulier de gommer ce qui n'a pas de valeur ajoutée a ses yeux.

 Furax § Je reviendrai sur le sujet.

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31 janvier 2010 7 31 /01 /janvier /2010 19:37

Sarkozy s’est couché à Davos


Cette semaine sera décidément très mauvaise pour Nicolas Sarkozy qui, lors de son passage au Forum économique de Davos (WEF) hier, s’est littéralement couché dans l’affaire de la liste des comptes de la banque HSBC.

 

Au sortir d’une entrevue avec la ministre française de l’Economie Christine Lagarde et celui du Budget Eric Woerth, en fin d’après-midi, le chef du Département fédéral des finances (DFF) a pu assurer que la question était réglée. Les autorités de l’Hexagone ont promis qu’elles ne feraient aucun usage de la liste des 130′000 comptes de clients qu’Hervé Falciani avait dérobée à la  HSBC à Genève. Cette mesure faisait suite à la décision de la Suisse, quelque jours plus tôt, de suspendre la procédure de ratification de la Convention de double imposition (CDI) négociée l’été dernier entre les deux pays. Malgré les déclarations intempestives de Sarkozy sur le secret bancaire, lors du dernier G20, tous les commentateurs admettent aujourd’hui que la Suisse à gagné le bras de fer qui l’opposait à la France.


Le pire reste à venir pour le président français


L’affaire de « l’attentat de Karachi » pourrait très vite se transformer en un véritable « sarkogate ». Selon nos informations, le nom du président français, qui était à ministre du Budget à l’époque des faits, ressortirait à plusieurs reprises dans le volet suisse de l’enquête, instruite actuellement par la justice genevoise, qui porte sur des versements suspects lors de la vente de sous-marins français au Pakistan. Source


Pour Nicolas Sarkozy, l’année de ses 55 ans s’annonce difficile.


source librepaix  1er fevrier 200

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31 janvier 2010 7 31 /01 /janvier /2010 18:37

Le roi d’Alo abdique

Quatorze mois a près son intronisation, Petelo Vikena a démissionné. Le roi d’Alo était très fortement critiqué, jusqu’au sein même de son gouvernement.

 Futuna n’a plus de roi. Vendredi 22 janvier, Petelo Vikena le roi d’Alo a abdiqué, 14 mois seulement après son intronisation.
Petelo Vikena a rendu la racine de kava, symbole de son titre. Celui-ci est désormais entre les mains des anciens du clan royal de Talisé. Ce geste officialise désormais sa démission. A charge désormais pour eux de lui trouver un remplaçant.

Un roi désavoué
Le roi était contesté à l’intérieur comme à l’extérieur de son clan, notamment par trois de ses ministres coutumiers. Les biens publics du royaume avaient fait l’objet d’actes de vandalismes. Voitures brûlées, vitres brisées, dégradation des sièges traditionnellement réservés au roi dans l’église de Alo, les messages de désaccord ne passaient pas inaperçus. La responsabilité du roi dans les tensions sociales omniprésentes dans le royaume d’Alo était fortement mise en cause.

En attendant l’intronisation d’un nouveau roi, c’est le Saakafu (porte-parole du roi) qui prendra en charge les affaires du royaume.

Avec l’abdication de Petele Vikena, c’est tout Futuna qui se retrouve sans roi. Le roi de Sigavé, l’autre royaume de Futuna a démissionné depuis plusieurs mois. A ce jour, sa succession n’est toujours pas assurée.


Source collectif Dom fevrier 2010 
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31 janvier 2010 7 31 /01 /janvier /2010 12:02
Du haut des airs, le survol d'un pays complètement dévasté donne une impression terrifiante, pire que sur terre. Au sol, en visitant un quartier à la fois, il est toujours possible d'imaginer que le prochain secteur sera moins touché. En hélicoptère, l'ampleur du désastre apparaît trop grande, trop étendue pour réussir à reprendre le dessus et rétablir une vie normale. Dans un territoire constitué à 75% de montagnes et de hautes collines, l'idée d'aider la population isolée semble pratiquement impossible. Les miliers de camps de réfugiés sont tous visibles un par un. Les nombreuses questions sans réponses subsistent. Comme l'a répété le président René Préval en entrevue, samedi, plusieurs réflexions aboutissent dans un cul-de-sac actuellement. En éloignant les gens des grands centres trop populeux, les opérations de ravitaillement deviennent trop longues. En rassemblant les gens dans les camps, la proximité et l'insalubrité amènent des maladies mortelles. La végétation et la mer des Caraïbes surprennent mais la désolation l'emporte. Trop de temps «Il y a trop de discussions, trop de réunions», peut-on entendre ici et là. «Trop de pays représentés au sein de la MINUSTAH», disent d'anciens dirigeants devenus hommes d'affaires. À travers ces problèmatiques, la logistique fait défaut, mais pas la volonté. «Au bas de l'échelle, nous attendons après les plus hauts placés», répondent les moins instruits. «Des gens meurent pendant qu'on discute.» À Jacmel, où les troupes de Valcartier sont déployées, les routes ont été déblayées et le traitement de l'eau va bon train. Le personnel médical travaille d'arrache-pied mais il y a toujours trop de blessés à soigner. Sur les civières, le mercure affichant 39°C, des patients semblaient au bout du rouleau, samedi. «Votre enfant a une infection sérieuse aux poumons. Il va falloir lui donner ce médicament avec une seringue trois fois par jour», expliquait la technicienne médicale québécoise, Marylin Trottier. La pauvre mère haïtienne était désemparée devant les consignes pourtant simples. L'hélico canadien surnommé «Big Dawg» (gros chien mal léché) sauve certainement des vies mais les ressources sont limitées. «Nous prenons notre mission très à coeur», mentionne le lieutenant de vaisseau Alain Blondin. Agressivité grandissante Lors de chaque débarquement aérien les enfants courent dans tous les sens, comme s'ils attendaient une délivrance qui ne viendra pas. La violence augmente et les patrouilles ne suffisent pas. Les habitants affamés sont parfois agressifs avec les membres de la presse qui voudraient fournir de la nourriture. Le port, toujours endommagé, ne peut accueillir autant de navires et de marchandises que les autorités réclament. La quantité de bateaux civils et militaires qui mouillent au large est stupéfiante à vol d'oiseau, tout comme les déplacements de minuscules embarcations qui font constamment la navette. Des garde-côtes des îles Turks et Caïcos ont même intercepté, hier, une embarcation de fortune avec 126 passagers, dont des enfants. Certains choisissent la fuite, d'autres attendent assis sur les ruines.

source tatuninfo 30/01/2010
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28 janvier 2010 4 28 /01 /janvier /2010 07:08
Boum patatras!!!! relaxe please, relaxe mister croc de boucher:..comme dirait M de Ville pin
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  • L'archipélien
  • Le monde est dangereux non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire” Einstein.
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