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25 janvier 2010 1 25 /01 /janvier /2010 18:30
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23 janvier 2010 6 23 /01 /janvier /2010 14:33
 Comment oublier ce 5 janvier ? Comment ne pas se dire que les esprits, ce soir-là, avaient lancé un signe et tenté de prévenir ? A leur façon bien sûr, codée et mystérieuse. Difficile à interpréter. Mais enfin, leur comportement si étrange, une semaine avant le séisme, était à l'évidence un message. Et Jean-Alex Marc, prêtre vaudou à Tabarre, un faubourg de Port-au-Prince, reste troublé par le souvenir. Il n'avait pas su voir.  C'était pour lui un grand jour, et la cérémonie qu'il avait longuement préparée promettait d'être à la fois fervente et délirante. "Une tradition pour moi ce 5 janvier. On l'appelle le "couché yanm", la communion de tous les esprits. Autant dire que c'est plein d'énergie !" Il avait invité d'autres hougans (prêtres vaudous), des dizaines d'initiés ; et très vite, après une longue prière, les tambours s'étaient déchaînés. Les esprits invoqués étaient venus, comme attendu. Mais ils étaient, comment dire, réticents. "Ils ne parlaient pas, ne mangeaient pas, ne festoyaient pas. Ils pleuraient. C'était bouleversant." Papa Ogou, d'ordinaire si joyeux et festif, ne disait pas un mot. Les guédés (esprits des morts), qui ne craignent rien puisqu'ils ont déjà vécu, et forment une famille volontiers chahuteuse et paillarde, restaient mystérieusement éteints. Les chants et les danses ont quand même traversé la nuit. Mais au petit matin, le prêtre était perplexe. Et interrogeait ses pairs. Que s'était-il passé ? Où était l'erreur ? Avait-il commis une faute ? Fallait-il refaire la cérémonie ? "J'ai mis du temps à comprendre. Même le jour du séisme, je n'ai pas fait le lien. Mais l'évidence m'est apparue. Les esprits savaient qu'Haïti allait souffrir." "Bien sûr, ils le savaient !", s'exclame André Ismaite, hougan lui aussi dans la commune de Tabarre, dont le temple - le hounfort - qu'il avait mis tant de temps à construire, s'est effondré en quelques secondes. "Nous étions avertis depuis le mois de novembre." Avertis ? "Disons que les esprits nous prévenaient par signes, par songes, par paraboles. Mais il y a tant de problèmes dans ce pays qu'on ne savait qu'attendre. Un énième soubresaut politique ? Un choc économique ? Quel tort de ne pas prendre plus au sérieux nos songes !" Qu'auraient pu faire les hougans, de toutes façons, s'ils avaient fait la bonne interprétation ? "Le gouvernement nous exclut, nous ignore, nous méprise", regrette André Ismaite. "On invite les pasteurs et les prêtres au palais présidentiel. Mais on fait comprendre qu'on n'y souhaite pas de cérémonie vaudoue. Quelle hypocrisie ! Ce pays a été fondé sur le vaudou. Tous les Haïtiens, qu'ils se proclament catholiques ou protestants, ont le vaudou dans le sang !" L'itinéraire de Jean-Alex Marc n'était pas écrit à l'avance. Elevé par une maman catholique pratiquante éprouvant pour les rites vaudous une grande méfiance, il a beaucoup fréquenté l'église, avant d'être séduit par les Témoins de Jéhovah. Jusqu'à sa maladie. Soudaine. Mystérieuse. "Un 1er janvier, je me suis retrouvé aveugle. Sans raison apparente. Puis mon coeur a enflé. A la perplexité des médecins. Enfin, j'ai traversé une période de folie, avec de vrais délires. Et c'est à son issue que j'ai pris conscience de ma vraie place. J'étais un réclamé des esprits." Une cérémonie l'a confirmé : il était choisi pour être hougan. Impossible de refuser. A moins d'endurer des souffrances jusqu'à la mort. "Je voulais sauver ma vie. J'ai consenti. Et ma santé s'est rétablie." Depuis, il officie dans une petite communauté pauvre qu'il chérit et dont il est, dit-il, malgré ses 36 ans, le "papa". Il organise les grandes cérémonies du calendrier vaudou, des mariages, des actions de grâces demandées (et payées) par des particuliers. Il sert de conseiller, de confesseur, d'arbitre, de psychologue. Et dans la petite cour entourée de bananiers et située entre son domicile et le petit hounfort qu'il nous fait visiter avec fierté, il reçoit sans cesse de la visite. Son téléphone portable est ouvert à tous. Depuis le 12 janvier, "jour effroyable", il sonne sans arrêt. Pour poser mille questions : Pourquoi ? Quel sens ? Que faire ? Y a-t-il eu faute, donc punition collective ? Et puis, que faire des morts ?... Il a mûri ses réponses, littéralement "malade" de la souffrance de ses fidèles. "Dieu a créé le monde parfait ; nous les hommes, par ignorance ou méchanceté, l'avons dégradé ; on paie la conséquence. Mais Dieu et tous les esprits bien heureux peuvent alléger le fardeau." Les cérémonies pour les morts ? Il ferme les yeux et soupire. Ah, les morts... Ces corps broyés sous les gravats. Ces cadavres suintant sur les trottoirs ou jetés dans des fosses communes. Comment ne pas frémir ? Comment ne pas s'épouvanter de cette violente entorse aux rituels du culte qui imposent notamment le dessounen, pratiqué juste avant ou juste après trépas pour libérer le corps des esprits qui le possédaient ? Mais il se veut pragmatique. Et apaisant. "Allons ! La grande catastrophe du 12 janvier balaie toute normalité. Adaptons-nous. Le corps, après tout, n'est qu'enveloppe. Débarrassons-nous des cadavres pour la sauvegarde de tous. C'est l'esprit qui importe. Nous ferons les cérémonies plus tard." Son collègue approuve. Les hougans de la zone viennent d'ailleurs de se réunir pour décider des procédures. D'abord, bien sûr, se joindre à la prochaine cérémonie oecuménique prévue par le gouvernement. Ensuite se mettre à l'écoute des esprits qui indiqueront ce qui est bon et juste de faire pour les morts. Enfin, prévoir pour le 13 janvier 2011, soit un an et un jour après le séisme, la cérémonie essentielle du "brulezin". Les morts, dit-il, y parleront, donnant une explication à la fureur du séisme. "On sera prêt, alors, à les entendre. En ce moment, ça vacille nos têtes. Personne à Haïti n'est d'aplomb." Annick Cojean

source:Le Monde
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22 janvier 2010 5 22 /01 /janvier /2010 19:25

Pas membre de l’ordre religieux, non, mais dominicain, habitant de la République dominicaine, capitale Santo-Domingo, la plus ancienne ville de la Caraïbe, là où se trouve le Palais de Christophe Colomb, dont le cœur serait abrité dans la très ancienne cathédrale, et avec un « malecon », un front de mer où il fait le bon le soir aller danser le « merengue ».

C’est le pays du couturier Oscar de la Renta, qui après avoir fait fortune avec ses créations et ses parfums n’a pas oublié sa région natale de Punta Cana, jusqu’à y attirer les « people » de ses amis et contribuer à lancer ce tourisme autrefois très haut de gamme, aujourd’hui plus « bronze-cul », non pas 3 étoiles mais 3 S (sea, sun and sex) avec pour le dernier S, des jeunes femmes et jeunes hommes qui sont si compréhensifs…

Nous sommes très loin d’Haïti ? … Non, pas du tout, on est sur la même île.

Saint-Domingue, qui occupe les trois quart à l’Est, et Haïti, un quart à l’Ouest de l’île d’Hispaniola… Même du ciel on voit la différence : Haiti, jaune, pelée, chauve comme un présentateur télé qui aurait raté ses implants, et à l’Ouest la luxuriante Saint-Domingue…

Je ne sais pas si vous avez remarqué, mais, alors que même à Gaza ou au Bhoutan, on se mobilise pour venir en aide à Haïti, il n’y a pas une mouche qui vole du côté de Saint-Domingue… Oui, bien sûr, en cherchant bien, quelques dizaines de blessés ont été accueillis par des hôpitaux sous les caméras de télévision.

Port-au-Prince, et la plupart des villes haïtienne ne sont qu’à quelques heures de route seulement de la République dominicaine. On aurait donc pu penser que l’aide internationale aurait pu utiliser les aéroports, les moyens de communication de ce pays afin d’agir le plus vite possible. On aurait pu imaginer… Non, là c’est dans vos rêves… Au contraire, la République dominicaine a courageusement fermé ses frontières, et vit dans la crainte de voir ses plages blanches noircies par un flot d’Haïtiens…

Vous vous demandez : "Mais pourquoi l’auteur montre tant de haine à l’égard de Saint-Domingue ? Alors que sur la même île, eux au moins, ils ne sont pas devenus le pays le plus pauvre du monde".

Hélas, les mots n’ont pas été choisis par provocation. Tout l’histoire moderne de Santo-Domingo a été construite dans l’opposition et la haine des haïtiens, pardon des noirs, mais à Saint-Domingue, c’est synonyme…

A l’origine, Français et Espagnols se sont partagés l’île. Mais alors qu’à l’Ouest, les français surexploitaient leur portion, en en faisant la plus grande et la plus riche, et la plus exploitée, déforestée des colonies du monde, les espagnols eux, avaient bien d’autres perles à leur empire.

Après la révolution et l’indépendance d’Haïti,en 1804, les haïtiens tentèrent évidemment de libérer les esclaves de la partie espagnole, et occupèrent puis furent chassés de Santo-Domingo. Par les colons , blancs… Qui lorsqu’ils proclamèrent l’indépendance , n’eurent qu’une seule hantise : les haïtiens. D’où le drapeau dominicain, qui est le drapeau haïtien sur lequel ils apposèrent une croix blanche.

D’où cette dictature de la blancheur qui conduit beaucoup de dominicains qui ne sont pas blancs-blancs à se dire « indien » « indien grillé, indien crotté, indien délavé, indien foncé, cannelle » tout sauf… noir.

Bon, malgré ce défaut, vous pensez que "les dominicains eux, auraient moins mal géré leur pays"… Hélas, non !

Malgré son tourisme, son potentiel agricole, le niveau de vie de la population y est à peine plus élevé qu’en Haïti. Et en matière de corruption, dictature , et atrocités Santo-Domingo est au sommet du podium.

Car l’autre célébrité du pays est un des plus affreux dictateurs d’une région qui en a connu beaucoup : Trujillo, dictateur de 1930 à 1961…

Trujillo, était tellement mégalomane, que même la capitale Santo-Domingo avait été rebaptisée Ciudad Trujillo.

C’est pas qu’il était corrompu, non… seulement qu’en gros, toute l’économie du pays avait fini par lui appartenir.

C’est pas qu’il était un obsédé sexuel, pédophile et pervers, non… mais en gros, dès qu’une jeune fille commençait à être…., bref, sa famille était invitée au palais et la jeune fille avait intérêt à se laisser faire, sinon, c’est toute la famille qui trinquait.

C’est pas qu’il était raciste. Non… d’ailleurs , un des rares aspects « positifs » de cette obsession de « blanchitude » est que Saint-Domingue est un des rares pays au monde à n’avoir jamais fermé ses frontières aux réfugiés fuyant l’Allemagne nazie ou l’Europe centrale., mais Trujillo fût l’inventeur de l’opération « Persil ».

« Persil », en espagnol« Perejil », un mot que les haïtiens ont quelques difficultés à prononcer. D’ailleurs essayez donc, entre le r roulé et le j « jota », ce n’est pas évident… »Opération Persil » est donc le nom des massacres lancés en 1937 pour blanchir Santo-Domingo. Les soldats demandaient aux paysans en leur montrant un brin de persil : « Qu’est-ce que c’est ? » S’ils n’arrivaient pas à prononcer le mot en espagnol, crac…Quand même 30 à 40 000 morts en cinq jours…Sous d’autres latitudes, on aurait appelé cela "génocide"...

Même après l’assassinat de Trujillo, l’intervention américaine, la guerre civile, et l’établissement d’une certaine démocratie, cette obsession anti-haïtienne, anti-noir continue à marquer toute la société dominicaine.

Ainsi Peña Gomez, qui fût un des plus grands hommes politiques de l’après Trujillo. A la tête du Parti socialiste dominicain , le P.R.D, il fût élu maire de la capitale, mais jamais il n’arriva à être élu Président. Ses adversaires n’eurent de cesse que d’essayer de le discréditer en laissant planer le doute sur ses origines, il serait en fait haïtien… Il faut dire que Peña Gomez était noir, contrairement à son rival, le conservateur Balaguer , ancien collaborateur du Trujillo, qui , même à 88 ans, aveugle et invalide, fût élu Président. Il faut dire que lui, on était sûr qu’il était bien blanc, de Catalogne…

Si vous ajoutez à tout cela, le fait que les grandes propriétés agricoles de la République dominicaine exploitent plusieurs centaines de milliers de travailleurs haïtiens, utilisés comme des esclaves à faire les travaux les plus ingrats, vous comprendrez aisément, que le mot d’ordre y est : « Chut, pas un bruit ». « Evitons de se faire remarquer par les américains et la communauté internationale, et attendons que ça passe »…

Or , c’est en train de passer puisque déjà Haïti « retombe » à la deuxième , voire troisième place des titres de l’actualité ». Et puis, la misère des uns faisant le bonheur des autres , tout reviendra comme avant. Peut-être même mieux, les haïtiens seront encore moins chers.

Nul besoin d’être visionnaire pour comprendre que cette situation de ces deux pays se détestant sur la même île ne pourra pas continuer. Il faudra bien que Santo-Domingo et Haïti se mettent à travailler ensemble. Comment reconstruire Haiti, si Santo-Domingo se sert de ses voisins comme d’un réservoir d’esclaves, si elle laisse passer toutes les mafias, et profite de tous les trafics qui déstabilise Haïti ?

Mais tout ce qui précède montre qu’il sera plus facile de reconstruire les bâtiments de Port-au-Prince que de détruire plusieurs siècles de préjugés raciaux à Saint-Domingue.

Puisque notre secrétaire d’Etat Alain Joyandet a de si bonnes relations avec le Président dominicain, ce serait pourtant une piste sur laquelle la France pourrait , avec beaucoup de prudence, de subtilités, de doigtés, s’engager…

PEREJIL : Nous vivons une e-poque formidable ! 
Pierre Thivolet sur Agora Vox 
 
Mots-clés/ Perejil, indien
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21 janvier 2010 4 21 /01 /janvier /2010 12:28
Saint Barth pourra percevoir l'impot 

Le Conseil constitutionnel a validé jeudi deux lois organiques dotant les îles françaises des Caraïbes de Saint-Barthélémy et Saint-Martin de pouvoirs de percevoir l'impôt.

Les juges constitutionnels avaient été saisis le 22 décembre par le Premier ministre François Fillon sur ces deux textes qui visent à permettre à ces nouvelles collectivités de l'outre-mer français d'imposer les revenus des personnes établies depuis moins de cinq ans sur leur territoire pour les activités qu'elles y exercent.

Le Conseil a jugé ces deux lois organiques, adoptées le 21 décembre, conformes à la Constitution, se contentant de rappeler notamment la nécessité pour l'Etat et les collectivités de se transmettre réciproquement toutes informations utiles dans le domaine fiscal.

A quel taux? ...Ces iles pourront elles concurencer le bouclier fiscal?.
Une boite aux lettres et oups le tour est joué, La défense n'a qu'a bien se tenir...La semsamar  s'engraisserait ...

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13 janvier 2010 3 13 /01 /janvier /2010 17:44
http://www.youtube.com/watch?v=yHtpH3fA



Catnat.net: 
Selon le sénateur haïtien Youri Latortue interrogé par l'agence AP, le bilan pourrait atteindre les "500 000 morts".
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4 janvier 2010 1 04 /01 /janvier /2010 16:59

Voici pourquoi la luette enfle avant de  tomber chez certaines femmes...LoL


LONDRES - Les scientifiques britanniques ont publié dans le Sunday Times les résultats d’une étude qui établissent sans le moindre doute possible que le point G est dans la tête. Des décennies d’erreur ont conduit les mâles de toute la planète à explorer en vain la cavité vaginale pour y localiser l’épicentre du plaisir féminin. "Nous savons désormais avec certitude que la fellation ou l’introduction d’un doigt dans le fond de la gorge est beaucoup plus efficace pour provoquer l’orgasme chez la femelle" a déclaré le professeur Marc D. du King’s College.

Contacté par la rédaction, le Vatican n’a souhaité faire aucun commentaire

Mots clés. point G , luette,appendice charnu

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2 janvier 2010 6 02 /01 /janvier /2010 12:31
Qu'estce qui se cache dans ce monument de pierres, quels sont les secrets de son édification ,un lien pour tenter d'en savoir un peu plus:
http://wiki.france5.fr/index.php/KHEOPS_REVELE
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28 décembre 2009 1 28 /12 /décembre /2009 17:38
 
La Photo du Jour
 

Toute ressemblance avec un personnage ayant existé serait purement fortuite.

Mots clés:estime de soi, image de soi, quete de soi, soi_meme et l'autre, altérité, dépassement de soi, humilité
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22 décembre 2009 2 22 /12 /décembre /2009 19:42
NicolaÏ Sarkocescu fait appel aux instituts de sondages ces oracles du temps moderne qui font dire aux sondés ce qu'ils veulent que le commanditaire voudrait  qu'on pense de sa politique
en echange de sommes sonnantes et trebuchantes.



NB:

Les talonettes et les postures n' ont jamais grandi quelqu' un, les effets de manche et les petits mouvements de menton n' ont jamais convaincu personne, l' arrogance et l' auto-satisfaction ne suffiront jamais à avoir raison, surtout quand on n' écoute que des laquais et des courtisans à son image !

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16 décembre 2009 3 16 /12 /décembre /2009 16:24
Le CRIJ (Centre régional d’information jeunesse), le conseil régional et la DRJS de Bretagne lancent « En route pour le monde », un site internet dédié aux 15-30 ans qui souhaitent partir à l'étranger, dans le cadre d'études, de stages ou d'emplois. Ce site http://www.ij-bretagne.com/international/ répond aux questions des jeunes sur les démarches administratives, la santé, le transport, le logement, les aides financières, etc…
Son contenu a été défini par un groupe de travail comprenant, outre les trois partenaires, Eures (portail européen sur la mobilité de l'emploi), la CRCI (Centre régional de commerce et d’industrie), le Cridev (Centre rennais d'information pour le développement et la solidarité entre les peuples), la DARIC (Délégation académique aux relations internationales et à la coopération), l'association Jeunes à travers le monde, le Centre de mobilité internationale de Rennes (groupement qui dépend de l'Université européenne de Bretagne), et les établissements d'enseignement supérieur partenaires du groupement.
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  • L'archipélien
  • Le monde est dangereux non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire” Einstein.
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