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5 novembre 2013 2 05 /11 /novembre /2013 18:30

Être moderne et progressiste en politique, c'est , ce me semble,  vouloir et savoir impulser la juste mesure entre un existant bati sur des éléments fondamentaux surs, produits d' avancées sociales et culturelles antérieures, et  la juste contrainte d' une adaptation individuellement  consentie , inhérante au besoin intrinsèque chez chaque  citoyen, d'agir en responsablité, en affirmation et réalisation de soi . La finalité etant d'avancer collectivement vers une émancipation humaine génératrice de mieux être, de libertés  publiques, de coopération entre peuples par altérité.

 

C'est le rôle des "fet chié" (intellectuels ) de prévenir chacun des contingences et comportements moutonniers qui enferment .C'est le devoir des citoyens de ne point se laisser aller à la tentation de jeter le bébé avec l'eau du bain.

 

L'observation des mouvements de l'homme qui, pour progresser  en équilibre, garde toujours un pied derrière( le passé) en appui et un pied devant (l'avenir) en traction,illustre mes propos. Toutes autres manoeuvres visant à defier  les règles de la nature conduisent inéluctablement son auteur à perdre pied, à s'egarer ou à la chute. Il en est de même pour les institutions à travers ses représentants malhabiles  ou prétentieux.

 

Les difficultés économiques, l'éffritement des valeurs, la tétanie des politiques, les scléroses et autres conflits générationnels qui ralentissent l'essor  de la démocratie,  sont les résultantes de ce que je pressens comme une maldonne, entre l' homme en harmonie avec son milieu et son désir de  domination et de puissance sans limites.

 

Comprenez donc, chers lecteurs, que nos hommes politiques d'ici comme ailleurs  sont des professionnels de l' existant. Ils fonctionnent  tels des boutiquiers zélés en défenseurs de l'êtablishment . Or nous avons besoin de professionnels de l'adaptation ; c'est à dire de relayeurs et passeurs d'avenir  pour progresser . Ce n'est pas la même affaire, ni les mêmes intérêts et enjeux qu'il s'agit de porter et  de  defendre  là.

 

Les Saintes:  Terre d'à hue et Terre d' à dia ....C'est quand qu'on va sortir de ce cercle vicieux?

 

 

P.s: Ceci est une ébauche  de mon agir politique.C'est à cette aune que je serai appellé à choisir ou pas le candidat des élections municipales et cantonales saintoises  à venir. Aussi, je puis dire des à présent que je ne me reconnais pas dans le pacte signé entre l'UDI et le  Modem. Ce soir, j'ai décidé de ne pas me fondre dans la même famille de pensée que les Sarkhozistes d'hier 

 

Prenez en de la graine jeunesse !

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4 novembre 2013 1 04 /11 /novembre /2013 18:30

 

 

Innommable Saintoise.

En numéro matricule,

Elle,

La sophie. 

 

Un meuble  bru noire. 

Ma blanchisseuse-concubine,

Elle,

Chose à crédit !

 

Que CALO Analphabète

Passeur-Esclavagiste,

En Maitre,

Deviergât l 'affranchie.  

 

Manzell calot  ébène inconnue

Faite femme sans retenue,

Oh Maitre,

Erre en catharsis.

 

La Diablesse griffon folle,

Pour gage de tout compte,

Mue libre,

En Pythie des Non -dits.

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3 novembre 2013 7 03 /11 /novembre /2013 18:30

 

 

 

 

Ce CALO Jean ne portait de thé à calot.

Un Rien, ni Personne, en héros des sots.

Mazette!

Que vous le sachiez, un TARTARIN de bigots.

 

Qu'il eût su à mains nues pêcher le burgot,

OLAC sans mitaines, souquer avironner canot. 

Que nenni!.

Légende stakhanoviste pure coco.

 

A la vigie Morne à COINTRE, mulâtre matelot.

D'un nègre SOLITAIRE,  je tiens ces quelques mots. 

Et Souvenez vous en!

Qu'à trop cultiver l'indulgence le sage fini miro.

 

Terre de haut le 1/11/2013ψ


 

 

 


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2 novembre 2013 6 02 /11 /novembre /2013 18:30

En toute modestie, j'aimerais proposer ici un article de réflexion qui ose soulever plus de questions qu'il ne s'essaye à donner de réponses. Autrement dit, les points d'interrogation l'emporteront sur les points d'exclamation avec autant de triomphe que les politiques d'austérité sur les politiques sociales. J'espère néanmoins que cette ponctuation ne vous condamnera pas à la misère et l'esclavage, tout comme j'imagine, en revanche, que c'est ce qui nous attend avec les décisions prises par nos chères élites politiques. En guise de friandise, introductive, je pose donc la question, productive ; avoir ou ne pas avoir, telle est l’obsession ?

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Avant-propos sémantique

Comme j'ai été bien dressé, il m'est indispensable de définir ce que j'entends pas « être », ou l'être pour des raisons littéraires, et « avoir », ou l'avoir pour les mêmes raisons. Par contre, comme je fais ce que je veux pour une fois, petite grimace subtile en direction de la norme scientifique, je ne m'appuierai pas sur des auteurs mais sur ce que je pense.

Ainsi, grossièrement, « être » est ce qui définit un individu par ses comportements, sa situation, sa manière de penser et ses pensées et, « avoir » est ce qui définit un individu simplement par ses possessions. Ceux qui aiment remuer les excréments me diront que les deux peuvent être étroitement liés et ils auront bien raison, en dépit de la saleté de leurs mains. Comme je suis fort aisé dans le domaine pécuniaire je suis distingué car j'ai une bonne éducation car je suis né riche et caetera... Laissons, s'il vous plaît, les étirements neuronales superflus pour se concentrer sur l'essentiel. J'aimerais dans cet article, toute ambition démesurée comprise, provoquer une réflexion sur un nouveau mode de définition de l'être à travers l'avoir. Est-ce qu'aujourd'hui nous nous définissons à l'aide de ce que nous possédons ?

 

Quelle date pour l'avancée de l'avoir sur l'être dans la société française ?

Est-ce que je commets une erreur en imaginant une société passée moins tournée vers la possession des individus pour qualifier ceux-ci ? En y réfléchissant, dans l'après-révolution, les électeurs étaient les possédants, ceux qui payaient le cens. Il s'agissait alors bien des ayants-argents qui étaient des citoyens-électeurs. L'être s'effaçait alors derrière l'avoir puisque le fait de posséder donne, de droit, un qualificatif sur l'individu. Monsieur François-Marie Bourgeois (nom stéréotypé de bourgeois n'est-ce pas ?) s'est fabuleusement enrichi dans le commerce de personnes considérées sans-âmes et il est un électeur, comme le confirme les rondeurs de sa bourse.

Pourtant, à la même époque s'est livrée le combat de deux être ; le progressisme des Lumières contre le conservatisme des Capétiens, le tiers état contre la noblesse, les laboratores qui sont logiquement fatigués de transpirer pour leurs maîtres contre les bellatores qui n'ont plus envie de faire eux-mêmes des moulinets avec leurs épées. Il ne faudrait pas non plus oublier la bourgeoisie, dont le rôle dans la révolution se ramasse souvent des coups enragés de rabots, qui prend conscience de sa situation. Ni vraiment laboratores, ni vraiment bellatores mais plus mercantes, les bourgeois sentent qu'ils méritent une autre place de par leur être, effectivement liés de manière intime avec leurs possessions. Est-ce là l'introduction d'un nouveau mode de définition de l'être ? Mon inculture sur le sujet historique ne me permet pas de me prononcer. Je laisse donc ce point d'interrogation exactement là où il se trouve dans mon cerveau étouffé, c'est à dire perdu entre des milliers de pensées, en guise d'appel désespéré pour des explications.

 

Être s'est effacé derrière avoir ?

Effectuons un bond dans le temps, avec le mépris le plus affirmé de tous les codes d'articles construits chronologiquement.

De nos jours, ce qui semble compter sont les marques, objets graphiques à forte teneur symbolique qui irradient notre quotidien. Quand les entreprises se sont aperçues qu'elles ne pouvaient plus se battre sur l'aspect technique de leurs produits, et afin d'éviter la diabolique compétition par les prix, elles se sont dirigées, avec la hargne d'un affamé, vers un marketing de l'esprit (source 1). Une paire de chaussure n'est pas qu'un tas de tissu, de plastiques et de cuirs artificiels, elle est aussi une réalité dans le monde des idées normées du marketing, autrement dit elle représente effectivement un symbole fort et explicite. Avec Nike, je vais me surpasser et me muscler l'auriculaire si bien que je pourrai retirer, seul, mes bouchons de cire.

Outre l'avancée dans l'auriculo-hygiène, le marketing a fait une entrée fracassante dans la définition de l'être par l'avoir. L'être n'est dès lors plus une construction sur le temps long, il est état d'esprit, car réduit à l'état de produit. D'un instant à l'autre je peux être un révolutionnaire aussi plat et inexpressif que mon tee-shirt du Che ou un footeux faussement invétéré aussi inflammable que mon maillot en nylon.

De ce fait, je me dois de lever la main pour demander à mes innombrables professeurs qui se présenteront face à cet article de misère intellectuelle. L'achat de l'être entraîne t-il véritablement un effacement de celui-ci derrière l'avoir ? Je suis ce que j'achète ou s'agit-il seulement d'une illusion entretenue par un marketing, cuisinée aux petits oignons avec plein de crème fraîche, qui me pousse à croire cela pour sa survie ?

 

Telle est l'obsession ?

Outre la question de l'effacement de l'être derrière l'avoir, je me dois de dessiner des interrogations vers ce qui n'est pas qu'un jeu de mot en l'honneur de Shakespeare. Le titre de cette partie touche de l'index le caractère pragmatique de ce constat, encore une fois, tout en courbe à la racine en forme de point. Est-ce que les individus tremblent d'impatience, ont des suées grippales, des emportements infantiles, des comportements débiles par rapport à leurs possessions ?

Entre en jeu l'image de cet article, ce ramassis d'idées brossées à la va-vite pour paraître présentable à la manière de ce mioche toujours fourré dehors que l'on coiffe dans la précipitation parce que les grands-parents font une visite improvisée, et entre en jeu Apple ; alors croquez et vous saurez...

La marque américaine est un exemple en l’occurrence juteux. Il exprime les deux éléments que je cherche à passer à la forme interrogative, à savoir l'effacement de l'être derrière l'avoir et l'obsession de l'avoir. Premièrement, Apple au travers de son marketing de l'esthétique de la simplicité, du « Think different » (« Penser différent »), a appliqué plusieurs symboles à son image de marque, entre autres ceux de la singularité, de l'originalité et du charisme des individus. Renforcée par le nouveau slogan « Designed by Apple in California » (« Conçu par Apple en Californie »), qui laisse croire qu'Apple possède en exclusivité les clés de ces symboles, ce marketing promeut-il un avoir qui donnerait des vertus à l'être ?

Secondement, combien parmi vous sont parvenus, peut être grâce à un thérapeute, à oublier ces files d'attente (source 2) de sous-neuronés, dont le voyant système nerveux clignote, entassés devant un magasin frappé du logo de la pomme ? Je suppose que plusieurs d'entre vous se réveillent encore la nuit, le dos trempé et le rythme cardiaque affolé. Qu'est-ce qui pousse ces tas de cellules à jouer avec leur survie devant un Apple Store, avant l'aube, pendant des heures, alors qu'il fait froid et qu'ils vont perdre plusieurs centaines d'euros ? Je doute, avec une conviction qui rendrait jalouse Arlette Laguillier, que 135 grammes de moins, entre l'Ipad Air et l'Ipad 2, soit une révolution technique qui justifie un tel comportement. Si Lidl faisait une tablette de 477 grammes, soit un de moins que l'Ipad Air, ses supermarchés seraient-ils pris d'assaut ?

C'est une obsession de posséder un produit de marque Apple ? De sabrer plus de la moitié d'un Smic pour faire mumuse avec ses petits doigts sur un écran (« rétina » s'il vous plaît) ? Heureusement qu'Apple n'accepte pas les organes comme moyen de paiement sinon il serait le plus grand fournisseur de greffon de la planète. Ca ne serait pas facile pour les patients, surtout ceux qui recevraient une greffe de la cornée « pourquoi y a des pommes de partout ?! ».

 

Ces questions me paraissent tout à fait d'actualité et dignes de tracasser vos neurones. Avoir ou ne pas avoir, telle est l'obsession ? ou, autrement dit, est-ce qu'aujourd'hui l'avoir sert à définir l'être et, si oui, est-il une priorité dans la définition de l'être ? En effet, cela sonne comme une problématique. Je ramasse demain à 10h00. Bonne chance...

 

 

Nota bene 1 : Vous noterez bien la traduction de l'image pour les non-anglophones : « Le pouvoir de la ressemblance qui vous coûtera un bras... peut être deux ».© tous droits réservés au primate 

Nota bene 2 : Vous noterez bien que malgré les apparences, je ne parle pas le latin. Non, je suis juste allé chercher l’étymologie de marchand le net. Oui, je mérite vos crachats, ne salissez pas trop vos écrans quand même.

 

Source 1 : Sur le marketing de l'esprit et l'impératif pour l'entreprise d'y investir pour ne pas se ruiner = No logo de Naomi Klein

Source 2 : Les néo-zombies dont Romero n'est parvenu à anticiper la forme :

http://www.bfmtv.com/high-tech/file...

 

auteur: singe conscient

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1 novembre 2013 5 01 /11 /novembre /2013 19:46

 

 

...Aussitot fini l'embarquement du dernier passager en partance pour les iles des saintes, Victor, le mousse aux agrès d'appareillage, lacha instinctivement les amarres, relayant de suite la manoeuvre à un Michel Morin: Le Capitaine -Boulanger -Commercant- Maire de  tè d'en hau ; un colosse d'homme dans son etat signalétique de services rendus. Comme dans bien d'autres séquences antérieures - "Cassiopee". " Capella" enfouies dans les annales maritimes locales - , La Saintoise s'arracha progressivement de la frêle jetée, avec son plein de postulants aux affres du mal de mer. Puis, dans une aire trois quarts babord, pivotat sur elle-même, afin de pouvoir s'eloigner des  berges aux crabes ciriques et de  l'avancée brise-houles de fond, dévastatrices en phases cycloniques.

 

"Mer d'huile , ciel bien dégagé , à la grâce de Dieu " , eût sans doute dit père Magloire à l'adresse de ses élèves seminaristes pour les rassurer, une fois la navette sortie du cul de sac .

 

Notre Denis le débonnaire, les neurones minées de  toxines icthyophages amnésiantes amassées bien avant sa toute premiere  dent de lait, se laissa aller à un pti pigé zyeu , l' ouie en alerte , dans la posture du penseur de RODIN ; façon instinctive pour lui de demeurer en resonnance parfaite avec les aléas du jour. Il préssentit et il eut raison qu'au nord, une goêlette balaou etait  en ararouine dans la pétole des alizes(ce vent de commerce triangulaire  du temps odieux de la traite negriere et autres turpitudes) . Il devina et il visa juste, qu'au sud, un barreur saintois, Arsene D, manoeuvrait auloffée pour prendre le lit du vent sous le Morne Cabrit. Il annonça que La Saintoise aganterait  à la pointe Bombarde  le caboteur Qui sait ( un  pirogué saintois modifié) en provenance de Pointe à Pitre ; et ce fut le cas.

 

L'araissement de l'horizon, depuis le poste de pilotage, offrait au capitaine et à ses hotes,  une  vue limpide jusqu'aux  bornes lisières bleues de la Martinique. Eole semblait avoir  rendu son ultime souflle. Propulsion Baudouin Diesel , mille chevau- legers-soupirs , s'échappant par volutes suspendues en un entre deux mondes . C'est alors que l'amplitude des ondes de marée montant des abysses  jeta Denis dans les bras de son ange gardien ; et , dans son  reve éveillé, il crut s'entendre dire que le prévôt de terre de haut avait fait sécession avec la mère patrie..."Terminus tout le monde descend !"... à suivre.

 


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31 octobre 2013 4 31 /10 /octobre /2013 19:19
L

Le système fonctionne sur un mode patriarcal, tout découle de ce mode de fonctionnement : l'argent, le cul, les rapports entre les gens. Le père est au pouvoir, de la base jusqu'au sommet. Pas juste le mâle, mais son concept perverti et modélisé. Or, au départ, le père n'existe pas, c'est une invention. Ce qui existait, c'était une mère qui faisait des enfants sans père, protégée par tous les "mâles" de la tribu. Les mâles n'étaient pas pères, ils étaient oncles.

Pour protéger sa paternité, sa descendance, le mâle a inventé le mariage, qui lui permet d'avoir une garantie sur la filiation, il en est le seul vrai bénéficiaire. En cas de séparation la femme se retrouve seule, isolée et fragilisée.

Bien sur, on pourrait objecter que le mariage ne favorise personne, que le fonctionnement judiciaire a souvent tendance à rééquilibrer la situation au détriment de l'homme. Or, en ces temps de crises, la réalité des droits octroyés à la mère s'écroulent, la capacité des pères à assurer une pension suffisante se réduit et les maigres subsides des aides sociales ne suffisent pas à les compenser, laissant ces mères sur le carreaux, de plus en plus réduites à des activités voisines de l'esclavage ou de la prostitution pour assurer seules la charge de leur progéniture.

La contractualisation du mariage est donc un outil de domination, qui favorise le père au sein d'un modèle patriarcal. Du concept de tribu où la femme était libre de faire des enfants et de les élever dans un cadre protecteur, on est passé à une situation où, dès qu'elle en fait, elle est fragilisée, résultat, la société actuelle.

Fort de ce constat, les matriciens proposent une alternative, le projet Prométhée, l'instauration d'une société parallèle en toute légalité : territoires quasi autonomes, marchés locaux, monnaies locales, administration locale, finance sans taux d’intérêt…

Cette solution permettrait - de résoudre efficacement tous les problèmes sociétaux : démographie, retraites, précarité et solitude, conflits familiaux, marché du sexe, violences sexuelles… - de créer de la solidarité et de la cohésion dans une population atomisée face aux états et aux banques, ces deux tenailles de l’asservissement des peuples, ces deux mafias ont besoin l’une de l’autre pour exploiter l’individualisation de la population. L’État a besoin de la banque pour être financé. La Banque a besoin de l’État pour être protégée.

Le projet Prométhée permettrait-il de recréer des corps intermédiaires, entre l’individu et la nation, le citoyen et l’état, par la restauration d’une société clanique modernisée ... à suivre

En savoir plus sur les matriciens en découvrant leur site matriciens.org et le projet Prométhée.

 

Marc VIOT

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31 octobre 2013 4 31 /10 /octobre /2013 19:08

Leçon de morale:  " SI TU ES NEUTRE EN SITUATION D'INJUSTICE, ALORS TU AS CHOISI LE  COTE DE L'OPPRESSEUR" : Monseigneur  Desmond TUTU.

《♡》

 

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30 octobre 2013 3 30 /10 /octobre /2013 19:09

  suite...

 

 

Concommitamment,  sur l'autre rive  du canal de la ritournelle, en bord de mer des Trois Rivières, un aéropage d'inconditionnels tafiateurs - Carpe diem les poches vides -, experts en familiarités convenues pour un Sandrich Morue Salée (SMS) à vil prix, chez KAKO... " En ce que, depuis diab té ti gasson,  çà vous sollicite en bistan son  sek , à l'arrêt du bus CHAPITEAU, visiteurs et autochtones  en partance pour les Saintes" , ânnona TOTORO , un vieux sage qui passait pour un fou .

 

Généreux aux limites de son possible, notre Denis accepta, comme bien d'autres , de verser la contribution  soutirée aux amis de passage( règle tacite non écrite de la principauté des cocagneurs ). "Tenez cinq sous dix sous", tançà t,il à l'adresse des deux "bécunes" qui l'encerclaient, se gardant bien de faire table commune avec eux; résigné de devoir respecter, une fois n'est pas coutume,  les recommandations d'abstinence  de son mèdecin traitant . Même qu'il s'en moquait à la mesure de  sa compréhension et " antenman " de l'existence , notre Denis : - " ce kondissipliné d,Hyppocrate di moin  si ou ni la goutt pa pren la goutt", avait-il pour habitude de trompetter dans une colère feinte à qui voulait l'entendre.

 

A quelques portées de pas plus loin  de chez Gervaise Mayérèze ,  sous le auvent faisant face au marché aux poissons, une silhouette en soutane psalmodiait ses voeux d'espèrance et d, humilité dans une neuvaine à Saint Expédit . Et la chasteté, Monsieur  l'abbé-géniteur de batards " liberi nati ex damnato coitu" des villages de la côte sous le vent... Vous en faites quoi, pensa tout  bas Denis le débonnaire..à suivre

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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29 octobre 2013 2 29 /10 /octobre /2013 18:30

 

 

 

Denis le débonnaire, matelot-pêcheur-chanteur impénitent de romances et tout ce qui s'en suit après boire, est prié de regagner son archipel du sud, au terme d'une inénarrable  hospitalisation dans la "froidure" des hauts de Saint claude en Guadeloupe. Prévenus de la chose, ses amis de la confrérie des coudes levés de Terre de Haut, Achil akowdeon, Pol louss et Effrayeu Koulirou, ne se firent pas prier pour en parler ; et, de  " Ca yo di vou di moin" en " Pou moin di ca pou di ",  inoculer de bouche à oreille  la bonne nouvelle, aux encoignures des rouettes de petites naissances et aux dedans des portes et persiennes closes de grandes gences, au fond du curé. En ce jour de Mars avant vèpre -à l'intersection d'une office de santé publique résiduelle et la maison René LOGNOS- l'ombre portée de la centenaire hétérophylla s'insuffisit graduellement - " piti a piti " - à la foule grossissante des anonymes "makro et makrell", tous aussi curieux et curieuses les uns que les autres ; folkloriques paires d'yeux arrimées aux volets de la "kaz a Man Jaque" via la passe de la Baleine...à suivre 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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28 octobre 2013 1 28 /10 /octobre /2013 18:30

 

 

Papy et Many vont se coucher et comme d'habitude,c'est le petit rituel de chaque soir.

 

Mamy enlève sa jambe de bois et Papy place son oeil de verre dans une timbale d'eau  sur la table commune entre leurs deux lits jumeaux..

 

Dans la nuit Mamy a chaud et pour se desalterer, elle prend sa timbale d'eau qu'elle se sert tous les soirs.

 

Hors cette fois la, elle se trompe et avale l'oeil de verre de Papy..

 

Le temps passe et les complications ne tardent pas à venir.

 

Prise d'une forte constipation elle decide d'aller voir le mèdecin du village qui lui demande de se deshabiller pour l'ausculter..

 

Et là le mèdecin s'écrie.. Nom dé Diou de Nom dé Diou !!!

 

Mamy lui demande, c'est quoi quis'passe docteur?

 

Le medecin dit:

 

En 40 ans de medecine ,c'est la première fois que je vois un trou du cul qui me regarde.

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Profil

  • L'archipélien
  • Le monde est dangereux non pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire” Einstein.
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